
Par la voix de son président Mario Draghi, la Banque Centrale Européenne (BCE) semble satisfaite de l'adoption par les Etats de l'UE d'un nouveau et sévère pacte de stabilité budgétaire jugeant que cela "renforcerait la confiance dans la zone euro".
Pour le président de la BCE, ce traité constitue le "un premier pas vers une union budgétaire", dont la BCE souhaite la formation rapide au sein de l'Europe afin de renforcer la stabilité de la zone euro, minée par l'insuffisance des transferts économiques et budgétaires entre pays.
En, dehors du Royaume-Uni et de la République tchèque, les autres pays européens - dont tous les pays membres de la zone euro, se sont engagé à inscrire dans leurs législations une "règle d'or" sur l'équilibre budgétaire. Le volet sanctions en cas de non respect du traité a été renforcé, avec des mesures automatiques en cas de dérapages.
Toutefois, rien n'indique que ce pacte donnera plus la latitude à la BCE pour s'investir davantage dans la crise de la dette. De nombreux pays appelle à une intervention plus forte sur le marché obligataire, avec des achats de dettes publiques en plus grande quantité.
"Nous saluons aussi l'entrée en vigueur" en juillet du Mécanisme européen de stabilité, le fonds de secours permanent de la zone euro, a ajouté M. Draghi. La très sensible question de sa capacité de prêts sera elle abordée lors du prochain sommet des 27, début mars. Pour l"instant, l'Allemagne refuse de fusionner les fonds du FESF et du MES pour porter de 500 à 750 milliards d'euros la force de frappe du futur pare-feu financier de la zone euro.
avec source AFP
Pour le président de la BCE, ce traité constitue le "un premier pas vers une union budgétaire", dont la BCE souhaite la formation rapide au sein de l'Europe afin de renforcer la stabilité de la zone euro, minée par l'insuffisance des transferts économiques et budgétaires entre pays.
En, dehors du Royaume-Uni et de la République tchèque, les autres pays européens - dont tous les pays membres de la zone euro, se sont engagé à inscrire dans leurs législations une "règle d'or" sur l'équilibre budgétaire. Le volet sanctions en cas de non respect du traité a été renforcé, avec des mesures automatiques en cas de dérapages.
Toutefois, rien n'indique que ce pacte donnera plus la latitude à la BCE pour s'investir davantage dans la crise de la dette. De nombreux pays appelle à une intervention plus forte sur le marché obligataire, avec des achats de dettes publiques en plus grande quantité.
"Nous saluons aussi l'entrée en vigueur" en juillet du Mécanisme européen de stabilité, le fonds de secours permanent de la zone euro, a ajouté M. Draghi. La très sensible question de sa capacité de prêts sera elle abordée lors du prochain sommet des 27, début mars. Pour l"instant, l'Allemagne refuse de fusionner les fonds du FESF et du MES pour porter de 500 à 750 milliards d'euros la force de frappe du futur pare-feu financier de la zone euro.
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