Dans une déclaration écrite, le secrétaire d'Etat aux finances Mark Hoban a informé les députés du versement à l'Etat irlandais d'un prêt de 403 millions de livres (480 millions d'euros) arrivant à échéance en 2019, dans le cadre d'une aide globale de 3,2 milliards de livres.
Ce versement, a-t-il précisé, fait suite au dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI) saluant la poursuite de la mise en oeuvre du programme de redressement du pays.
Le gouvernement britannique "estime de notre intérêt national que l'économie de l'Irlande aille bien et que son système bancaire soit stable", en raison des liens étroits entre les deux pays, a rappelé M. Hoban.
L'Irlande avait conclu fin 2010 avec le FMI et les Européens un plan d'aide de 85 milliards d'euros sur trois ans pour combler un déficit public colossal provoqué par le sauvetage du secteur bancaire. Hors de la zone euro, la Grande-Bretagne avait décidé d'y contribuer à titre bilatéral.
Le Premier ministre conservateur David Cameron a en revanche catégoriquement exclu d'apporter une aide du même type à la Grèce et au Portugal, deux pays européens ayant eu besoin d'une aide internationale.
Le Royaume-Uni, à l'instar d'autres pays dont les Etats-Unis, s'est en outre montré jusqu'à présent très réticent à participer à une augmentation des ressources du FMI, destinée notamment à aider au règlement de la crise de la dette dans la zone euro.
Ce versement, a-t-il précisé, fait suite au dernier rapport du Fonds monétaire international (FMI) saluant la poursuite de la mise en oeuvre du programme de redressement du pays.
Le gouvernement britannique "estime de notre intérêt national que l'économie de l'Irlande aille bien et que son système bancaire soit stable", en raison des liens étroits entre les deux pays, a rappelé M. Hoban.
L'Irlande avait conclu fin 2010 avec le FMI et les Européens un plan d'aide de 85 milliards d'euros sur trois ans pour combler un déficit public colossal provoqué par le sauvetage du secteur bancaire. Hors de la zone euro, la Grande-Bretagne avait décidé d'y contribuer à titre bilatéral.
Le Premier ministre conservateur David Cameron a en revanche catégoriquement exclu d'apporter une aide du même type à la Grèce et au Portugal, deux pays européens ayant eu besoin d'une aide internationale.
Le Royaume-Uni, à l'instar d'autres pays dont les Etats-Unis, s'est en outre montré jusqu'à présent très réticent à participer à une augmentation des ressources du FMI, destinée notamment à aider au règlement de la crise de la dette dans la zone euro.
