Après la dégradation de la note du FESF par S&P qui le rend largement inopérant pour aider un nouveau pays (Espagne, Belgique, Italie), de nombreuses voies ont appelé au renforcement de la force de frappe des pare-feux financiers européens.
L’action semble de concentre sur le futur Mécanisme Européen de Stabilité, qui doit venir compléter à partir de l’été prochain le fonds FESF puis le remplacer totalement à partir de 2013. Ce fonds est actuellement censé avoir une capacité d’action totale de 500 milliards d’euros, avec 80 milliards d’euros de fonds propres fournit par les Etats de la zone euro.
Hier, la Directrice générale du FMI Christine Lagarde avait appelé lors d’un forum en Allemagne à renforcer les moyens financiers du Fonds de secours de la zone euro. Elle a notamment plaidé pour une "augmentation" de "la taille" du mécanisme permanent de secours (MES) de la zone euro qui "serait d'un grand secours" à ses yeux.
Cette position est aussi celle de la France. L'Allemagne semble aussi s’aligner sur cette idée mais les tensions semble encore vives à ce sujet au sein du gouvernement.
Selon le Financial Times, sous l’impulsion de la chancelière allemande Angela Merkel, Berlin souhaiterait faire passer les fonds de soutien européens de 500 milliards d’euros à 750 milliards de d'euros en échange de règles budgétaires strictes imposées à tous les membres de la zone euro. Les 250 milliards d’euros seraient issus du FESF.
Toutefois, ce matin, le gouvernement allemand souligne qu’aucune décision en ce sens n’avait été prise. Le ministère des Finances a lui aussi démenti une telle décision.
La capacité financière des mécanismes de sauvetage sera à l'ordre du jour d'un sommet européen en mars. Le gouvernement allemand est pour l’instant favorable à ce que le MES soit lancé et opérationnel avant de se pose la question de sa capacité d’action.
Le MES doit entrer en vigueur en juillet, un an plus tôt que prévu initialement. Le MES ne pourra profiter qu'aux pays de la zone euro qui auront aussi ratifié le traité renforçant la discipline et la convergence budgétaires. Ce texte devrait être entériné le 30 janvier par les chefs d'Etat et de gouvernement européens qui se réuniront en sommet à Bruxelles.
avec source AFP
L’action semble de concentre sur le futur Mécanisme Européen de Stabilité, qui doit venir compléter à partir de l’été prochain le fonds FESF puis le remplacer totalement à partir de 2013. Ce fonds est actuellement censé avoir une capacité d’action totale de 500 milliards d’euros, avec 80 milliards d’euros de fonds propres fournit par les Etats de la zone euro.
Hier, la Directrice générale du FMI Christine Lagarde avait appelé lors d’un forum en Allemagne à renforcer les moyens financiers du Fonds de secours de la zone euro. Elle a notamment plaidé pour une "augmentation" de "la taille" du mécanisme permanent de secours (MES) de la zone euro qui "serait d'un grand secours" à ses yeux.
Cette position est aussi celle de la France. L'Allemagne semble aussi s’aligner sur cette idée mais les tensions semble encore vives à ce sujet au sein du gouvernement.
Selon le Financial Times, sous l’impulsion de la chancelière allemande Angela Merkel, Berlin souhaiterait faire passer les fonds de soutien européens de 500 milliards d’euros à 750 milliards de d'euros en échange de règles budgétaires strictes imposées à tous les membres de la zone euro. Les 250 milliards d’euros seraient issus du FESF.
Toutefois, ce matin, le gouvernement allemand souligne qu’aucune décision en ce sens n’avait été prise. Le ministère des Finances a lui aussi démenti une telle décision.
La capacité financière des mécanismes de sauvetage sera à l'ordre du jour d'un sommet européen en mars. Le gouvernement allemand est pour l’instant favorable à ce que le MES soit lancé et opérationnel avant de se pose la question de sa capacité d’action.
Le MES doit entrer en vigueur en juillet, un an plus tôt que prévu initialement. Le MES ne pourra profiter qu'aux pays de la zone euro qui auront aussi ratifié le traité renforçant la discipline et la convergence budgétaires. Ce texte devrait être entériné le 30 janvier par les chefs d'Etat et de gouvernement européens qui se réuniront en sommet à Bruxelles.
avec source AFP