Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a estimé mardi qu'il y avait "moins de risques", par rapport à la mi-2010, de contagion de la crise de la dette au sein de la zone euro si la Grèce venait à abandonner la monnaie unique.
"Il y a moins de risques", a déclaré le Premier ministre à la radio publique néerlandaise : "c'est dans notre intérêt que la Grèce reste, et pour cela elle doit prendre toutes les mesures qu'elle nous a promises (...) mais, si cela ne devait pas fonctionner, nous sommes plus forts maintenant qu'il y a un an et demi".
Les pays de la zone euro sont "plus forts" car ils ont "pris des mesures" telles que la recapitalisation des banques et le renforcement du Fonds européen de stabilité financière (FESF), a précisé M. Rutte.
Le Premier ministre a assuré être "d'accord" avec la commissaire européenne chargée des nouvelles technologies, Neelie Kroes, qui avait affirmé dans un entretien publié mardi dans le quotidien néerlandais de Volkskrant qu'il n'y aurait "pas mort d'homme" si la Grèce abandonnait la monnaie unique.
Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso avait réagi plus tard dans la journée en réaffirmant que la place de la Grèce était dans la zone euro. "Les coûts d'une sortie de la Grèce de l'euro seraient plus élevés que les coûts pour continuer à soutenir la Grèce", avait-il soutenu.
"Il y a moins de risques", a déclaré le Premier ministre à la radio publique néerlandaise : "c'est dans notre intérêt que la Grèce reste, et pour cela elle doit prendre toutes les mesures qu'elle nous a promises (...) mais, si cela ne devait pas fonctionner, nous sommes plus forts maintenant qu'il y a un an et demi".
Les pays de la zone euro sont "plus forts" car ils ont "pris des mesures" telles que la recapitalisation des banques et le renforcement du Fonds européen de stabilité financière (FESF), a précisé M. Rutte.
Le Premier ministre a assuré être "d'accord" avec la commissaire européenne chargée des nouvelles technologies, Neelie Kroes, qui avait affirmé dans un entretien publié mardi dans le quotidien néerlandais de Volkskrant qu'il n'y aurait "pas mort d'homme" si la Grèce abandonnait la monnaie unique.
Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso avait réagi plus tard dans la journée en réaffirmant que la place de la Grèce était dans la zone euro. "Les coûts d'une sortie de la Grèce de l'euro seraient plus élevés que les coûts pour continuer à soutenir la Grèce", avait-il soutenu.
