Le nombre de chômeurs en Franche-Comté continue à croître en août 2010, mais au ralenti avec seulement +4,1 % sur un an, contre +7,1 % au niveau de la métropole. La hausse revient sur ces niveaux plus modérés, après avoir connu des évolutions supérieures à +20 % entre mars et décembre 2009. Ce ralentissement rapide est à relier avec la modération de la hausse du nombre de chômeurs depuis la début de l’année 2010, après deux années calamiteuses.
Les évolutions restent cependant les pires que la Franche-Comté ait connu depuis 1998.
On compte en août 2010 en Franche-Comté 72 000 chômeurs de catégories A, B et C et 50 100 chômeurs de catégorie A. Le nombre de chômeurs de longue durée est sur une trajectoire explosive (+77 % depuis mi-2008).
Les offres d’emploi semblent se stabiliser. Au-delà de la volatilité de la série (cf. graphique) on ne parvient pas encore à déceler une reprise des intentions d’embauches. Les perspectives à court terme restent donc ternes.
NB : Les données dans les graphiques et les commentaires font références aux catégories ABC. Cette définition est préférée à celle de la catégorie A (à la recherche d’emploi sans activité réduite) car elle permet de mesurer les chômeurs effectivement en concurrence sur le marché du travail (personne astreinte à la recherche active d’emploi).
Les évolutions restent cependant les pires que la Franche-Comté ait connu depuis 1998.
On compte en août 2010 en Franche-Comté 72 000 chômeurs de catégories A, B et C et 50 100 chômeurs de catégorie A. Le nombre de chômeurs de longue durée est sur une trajectoire explosive (+77 % depuis mi-2008).
Les offres d’emploi semblent se stabiliser. Au-delà de la volatilité de la série (cf. graphique) on ne parvient pas encore à déceler une reprise des intentions d’embauches. Les perspectives à court terme restent donc ternes.
NB : Les données dans les graphiques et les commentaires font références aux catégories ABC. Cette définition est préférée à celle de la catégorie A (à la recherche d’emploi sans activité réduite) car elle permet de mesurer les chômeurs effectivement en concurrence sur le marché du travail (personne astreinte à la recherche active d’emploi).
