Les échanges commerciaux de la Chine restent très vigoureux à l’export et aussi à l’import


En mai 2011, la balance commerciale chinoise reste excédentaire mais est en reflux sur les premiers mois de 2011 par rapport à 2010. Toutefois, le pétrole l’explique en grande partie.



Les échanges commerciaux de la Chine restent très vigoureux à l’export et aussi à l’import
La balance commerciale de la Chine est remontée à 13,1 milliards $ en mai 2011, après 11,4 milliards $ en avril. L’excédent commercial chinois cumulé depuis janvier dernier se monte à 23,2 milliards $, soit une nette baisse par rapport à l’année dernière (34,8 milliards $).

N'hésitez pas à consulter notre rubrique Economie Chine avec toutes les principales statistiques mises à jour en continu.

Les exportations progressent de 19,4 % sur un an, à 157,2 milliards $ sur le mois de mai. Les importations sont elles en hausse de 28,4 % sur un, à 144,1 milliards $. On note depuis la fin de l’année 2010 un ralentissement de la croissance des exportations, alors que pour les imports le rythme de progression s’est renforcé. Ceci explique la réduction de l’excédent cumulé depuis le début de l’année.

Impacts économiques

La divergence qui se matérialise entre exportations et importations est considérée par certain comme le premier signe du renforcement de la demande interne chinoise. Notamment, la consommation des ménages gagnant graduellement en force, la Chine importe logiquement plus de biens pour la satisfaire.

Toutefois, il y a aussi un effet matières premières assez significatif. Le renchérissement des cours du pétrole par rapport à l’année dernière a provoqué une augmentation de 7 milliards $ du coût des importations de brut. Le seul pétrole est donc responsable des ¾ de l’augmentation des importations. Ainsi, il paraît difficile d’en tirer une preuve de la modification du modèle de croissance chinois. Rappelons que la consommation des ménages en Chine ne montrait pas de signes d’accélération au début 2011.

Équipe Gecodia.fr

Vendredi 10 Juin 2011




1.Posté par Noel RAMBALDİ le 27/08/2011 09:17
Tant que l'on compare des échanges de marchandises dont chacune d'elles est est au tarif locale les chiffres énoncés n'ont aucun sens.
1_ Un autre regard

Circulation des marchandises entre pays industrialisés et pays émergents sans restrictions réglementaires, quotas ou autres, c’est le but espéré. La condition sine quoi non pour l’atteindre est une organisation pragmatique de la façon de commercer entre ces deux partenaires commerciaux.
L’Organisation Mondiale du Commerce, entre pays industrialisés et pays émergents, telle qu’elle est organisée actuellement, est impossible. Elle interdit, entre ces pays, tout équilibre de la balance commerciale. Soit, l’équilibre monétaire est établi, mais, l’équilibre de la valeur réelle des marchandises échangées est catastrophique, soit la valeur réelle des marchandises est en accord, mais alors, l’équilibre monétaire est faussement excédentaire.
Les différences des salaires, l’existence ou non de protection sociale et des taux de change monétaire irréalistes ont pour effet de donner à une même marchandise, dans chacun de ces pays, des valeurs locales dont la différence est énorme. Cette caractéristique interdit, entre ces
pays, tout commerce international équilibré.
En fait le désordre a pour cause une erreur d’organisation commerciale internationale et les efforts de nos meilleurs économistes ne pourront pas apporter une solution pérenne tant que cette erreur n’aura pas été corrigée.
La bévue a été, pour l’O.M.C., d’espérer créer un commerce international en libre échange entre un pays industrialisé et un pays en développement sans opérer un rééquilibrage entre les valeurs locales des marchandises échangées.
Ce commerce est impossible sans provoquer les difficultés que nous vivons actuellement
İL serait nécessaire, pour le pays ou les marchandises sont les plus chères, de fixer, en accord avec son partenaire commercial, le taux de réévaluation appliqué aux marchandises qu’il importe de façon qu’elles gardent un caractère attractif, mais non dangereux pour son marché intérieur.
Ce même taux serait appliqué, mais en dévaluation, sur les marchandises exportées en direction de ce partenaire commercial, ce qui aurait pour effet de les mettre au niveau du pouvoir d’achat de ce pays. Les réévaluations financeraient les dévaluations. Quel que soit le sens du déséquilibre de la balance commerciale, sa conséquence, sur la quantité des marchandises exportées qui pourraient bénéficier du taux de dévaluation ou sur leurs prix, rétablirait automatiquement l’équilibre.
Nous sortirions, ainsi, de cette situation incroyable, d’un pays, dont la population a besoin de tout, mais dont les marchandises sous évaluées, ne lui donne pas le pouvoir d’achat correspondant dans le pays qui est son partenaire commercial ; et d’autre part, d’un pays industrialisé a fort potentiel de production, mais dont la population vit le chômage parce que son marché intérieur est gravement perturbé par les faillites et les délocalisations et que ses prix son hors de porté du pouvoir d’achat de ses partenaires commerciaux.
L’O.M.C. a une structure et une organisation qui lui permet de régler les différents commerciaux entre les pays industrialisés d’évolution identique.
L’Organisation Mondiale du Commerce actuelle, entre pays industrialisés et pays en développements, associée à sa théorie de libre circulation des marchandises, irréalisable entre ces pays, est une monstrueuse aberration qui est la cause essentielle de la crise en cours
L’application de la théorie de l’O.M.C. a provoqué le chômage dans tous les pays industrialisés, ce qui a engendré le problème des Subprimes en Amérique qui par contamination s’est propagé aux autres banques du monde. Les Subprimes ne sont qu’une conséquence, et non pas une cause.
L’O.M.C. est incontestablement l’instigatrice des désordres.

Rédigé par Noël RAMBALDİ qui revendique la paternité de ses idées et de ses écrits..

2_ L’APPLİCATİON DU TAUX DE REEVALUATİON – DEVALUATİON
CONSEQUENCES.

Le taux de réévaluation-dévaluation ferait l’objet d’une variation inversement proportionnelle au changement éventuel du taux de change des monnaies des deux partenaires, il acquerrait ainsi la capacité de stabiliser les prix a 100% et d ‘anéantir toutes tentatives de spéculation sur ces deux monnaies.

La concurrence, indispensable pour la régulation du marché, ne serait pas affectée par le taux de dévaluation, ce dernier étant le même pour tous les producteurs du pays industrialisé.

L’application du taux de réévaluation-dévaluation rééquilibrerait l’échange commercial en valeur monétaire et en valeur des marchandises échangées. L’intérêt des deux partenaires serait de développer leurs échanges. Aucune spoliation ni aucune perturbation du marché intérieur des deux partenaires ne pourrait être détectée. Une stabilité pérenne s’installerait.

La spéculation, qui n’est qu’une prévision d’un avenir financier, perd ses repères dans les périodes d’instabilité. Elle devient sensible a la rumeur, aux sensations, aux peurs, ses réactions deviennent totalement indépendantes de la réalité. İl souffle un vent de folie.
La stabilité la remet dans un cadre normal et tout s ‘apaise.

Dans cette nouvelle situation, de stabilité des prix et des monnaies, l’activité des établissements financiers reprendrait dans une ambiance beaucoup plus détendue et moins risquée. İls seraient enfin durablement délivrés de leurs risques de déviance sans souffrir ni de règlement ni de contrainte.

Tout excès dans un sens ou dans l’autre du montant du Taux de Réévaluation-Dévaluation a pour conséquence le blocage de l’échange commercial entre les deux partenaires. Pour l’un et l’autre, soit l’importation est altérée, soit l’exportation. L’usage même du Taux de Réévaluation-Dévaluation déterminerait le montant de ce taux.
Ce commerce mondial impliquerait la mise en place d’un contrôle douanier. Mais nous savons faire cela, n’est-ce pas. Cette fois, il n’aurait pas un caractère protectionniste et favoriserait de façon effective le commerce international sans effet secondaire défavorable.

Ce nouveau commerce international aurait la capacité de s’intégrer dans une Europe qui aurait la sagesse de coordonner ses salaires, ses règlements fiscaux, ses législations techniques, ses systèmes de protection sociale. Ces derniers, par une T.V.A. SOCİALE par exemple.

İl aiderait cet effort Franco-Allemand qui essaie d’établir en Europe la Règle d’Or, en lui apportant ce qui lui manque. C’est à dire la garantie d’une reprise d’activité de l’ensemble des pays de l’Europe.

L’évidente nécessité de la coordination des pays de l’Europe et la, non moins, nécessaire fiabilité qu’ils doivent garantir à l’extérieur, seraient ainsi réalisées.

Le personnel des agences de cotations pourrait prendre des vacances.

Rédigé par Noël RAMBALDİ qui revendique la paternité de ses idées et de ses écrits.
3_ L’AUTO REGULATİON DU TAUX DE REEVALUATİON – DEVALUATİON

TAUX TROP FORT :
Les marchandises importées sont trop chères sur le marché national, les importations s’effondrent.
Les marchandises nationales sont bien placées en prix sur le marché de l’exportation mais les liquidités qui permettent de financer les dévaluations sont faibles. Marché d’abord stagnant suivi d’une récession. Conséquences : diminution du revenu de la population et de l’Etat.

TAUX TROP FAİBLE :
Les prix des marchandises importées sont en dessous de ceux des marchandises locales. Le marché de l’importation se développe rapidement.
Les prix des marchandises exportées ont augmenté, le taux de réévaluation - dévaluation ayant diminué. L’exportation régresse rapidement.
Les conséquences : balance commerciale déficitaire, le chômage se développe, si le taux n’est pas corrigé, quelques-unes des entreprises font faillite, de nombreux prêts bancaires ne sont plus honorés. Les établissements financiers sont en difficulté. La population souffre. Le revenu de l’Etat s’effondre.

TAUX AU BON NİVEAU :
Les prix des marchandises a l’importation sont raisonnablement attractifs. Ce marché est actif et stable. Les liquidités obtenues par le taux de réévaluation des marchandises importées sont conséquentes et dynamisent le marché a l’exportation, le chômage est réduit, la balance commerciale est équilibrée et stable. La montée en puissance de l’activité associée a une stabilité des prix, inconnue jusqu’a ce jour, permet une évolution du marché intérieur régulière. Le climat social devient calme. L’Etat peut établir des budgets respectant la Règle d’Or sans être tributaire de surprises désagréables. En peu de temps, de petites retouches d’ajustement donneraient au taux de Réévaluation – Dévaluation sa valeur définitive.

La monnaie est un outil dont le rôle est de faciliter le commerce. En aucun cas et d’aucune façon elle ne doit être une marchandise. Cette nouvelle organisation du commerce international règle le problème de façon efficace puisqu’elle élimine la spéculation sur les monnaies sans règlement et sans contrainte. De plus elle stabilise totalement les taux de change des monnaies. Les prix deviennent stables.

Les délocalisations, a part celles qui ont pour objectif d’approvisionner les populations des pays dans lequel elles s’installent, perdent leur motivation.
Les entreprises sérieuses, bien organisées, pilote dans leur technique et disposant de personnel qualifié ne seront plus a la merci d’un concurrent, pourtant de moindre qualité, mais qui s’étant délocalisé, peut réussir à les exterminer rapidement.

La reprise de l’activité, ajoutée à l’élimination de ces points noirs, donnera à la Bourse un climat sûrement meilleur et les porteurs d’actions dormiront mieux.

Cette rédaction n’est rattachée à aucune sensibilité politique, elle ne se réclame d’aucun mouvement. Elle est le résultat d’une étude des réalités qui m’a permis d’imaginer :
LE TAUX DE REEVALUATİON-DEVALUATİON POUR LE COMMERCE İNTERNATİONAL.
ENTRE PAYS İNDUSTRALİSES ET EMERGENTS.

Noël RAMBALDİ


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