Selon le ministre des Finances grec qui s’adressait au parlement national, "il y a eu un feu vert, hier, lors d'une réunion informelle du conseil d'administration du FMI à Washington (...), l'aval a été donné pour que des cadres du FMI entament des négociations avec la Grèce pour le nouveau programme" d'aide, s'ajoutant à un premier plan d'aide UE-FMI à la Grèce accordé en mai 2010.
Jusqu'à présent, le FMI n'était pas concerné par le deuxième plan d'aide de 130 milliards d'euros décidé dans la nuit du 26 au 27 octobre par la seule zone euro lors d'un sommet extraordinaire à Bruxelles.
Le feu vert administratif donné par le FMI semble indiquer qu'un accord de la Grèce avec ses créanciers privés sur un effacement de dette est proche, le FMI ayant jusqu'à présent catégoriquement refusé de s'intéresser au deuxième plan d'aide, et évoquant même par presse interposée des problèmes de soutenabilité de dette pour le pays, qui l'aurait empêché de participer à ce plan.
Au chapitre des négociations, actuellement menées par la Grèce avec ses créanciers privés pour obtenir l'effacement volontaire de 100 milliards de sa dette, le ministre a d'ailleurs souligné que son pays espérait toujours une participation à 100% de ces banques et fonds.
L'opération "doit être de nature volontaire et conduire à une participation complète, de 100%", a-t-il affirmé.
Le Premier ministre grec, Lucas Papademos, avait laissé entendre dans des entretiens à la presse anglo-saxonne mercredi qu'en cas de participation insuffisante, la Grèce pourrait recourir à un mécanisme de clause d'action collective (Cacs) imposant à la minorité de créanciers rétifs de suivre le mouvement.
Jusqu'à présent, le FMI n'était pas concerné par le deuxième plan d'aide de 130 milliards d'euros décidé dans la nuit du 26 au 27 octobre par la seule zone euro lors d'un sommet extraordinaire à Bruxelles.
Le feu vert administratif donné par le FMI semble indiquer qu'un accord de la Grèce avec ses créanciers privés sur un effacement de dette est proche, le FMI ayant jusqu'à présent catégoriquement refusé de s'intéresser au deuxième plan d'aide, et évoquant même par presse interposée des problèmes de soutenabilité de dette pour le pays, qui l'aurait empêché de participer à ce plan.
Au chapitre des négociations, actuellement menées par la Grèce avec ses créanciers privés pour obtenir l'effacement volontaire de 100 milliards de sa dette, le ministre a d'ailleurs souligné que son pays espérait toujours une participation à 100% de ces banques et fonds.
L'opération "doit être de nature volontaire et conduire à une participation complète, de 100%", a-t-il affirmé.
Le Premier ministre grec, Lucas Papademos, avait laissé entendre dans des entretiens à la presse anglo-saxonne mercredi qu'en cas de participation insuffisante, la Grèce pourrait recourir à un mécanisme de clause d'action collective (Cacs) imposant à la minorité de créanciers rétifs de suivre le mouvement.
