"La Banque s'attend maintenant à ce que la récession en Europe soit plus profonde et dure plus longtemps quelle ne lavait anticipé en octobre", a indiqué l'établissement dans un communiqué.
"La Banque suppose encore que les autorités européennes mettront en œuvre les mesures suffisantes pour contenir la crise", a-t-elle ajouté tout en soulignant que "cette hypothèse" est moins certaine qu'auparavant.
Le maintien du taux directeur de la banque centrale canadienne, qui est fixé à 1% depuis l'automne 2010, était largement attendu par les analystes.
"La crise de la dette souveraine en Europe s'est intensifiée, les conditions sur les marchés financiers internationaux se sont resserrées et la version pour le risque a augmenté", a invoqué la Banque du Canada.
Aux Etats-Unis, la banque se réjouit d'un "redressement du PIB réel au deuxième semestre de 2011" qui a été "plus prononcé quescompté", mais elle prévoit néanmoins que la reprise dans ce pays "se poursuivra à un rythme plus modeste", compte tenu que les ménages remboursent leurs dettes et que l'assainissement budgétaire se poursuit. La situation en Europe aura également des répercussions aux Etats-Unis, ajoute-t-elle.
La banque remarque également qu'en Chine "le rythme d'expansion ralentit comme prévu pour se rapprocher d'un niveau plus soutenable".
Elle prévoit aussi que les cours des matières premières, à l'exception du pétrole, "devraient se situer jusqu’à la fin de 2013 à des niveaux inférieurs" à ceux qu'elle avait prévus l'automne dernier.
Au Canada, l'économie a fait montre "d'un plus grand dynamisme que prévu" en deuxième partie de 2011, mais la croissance projetée pour la période à venir risque d'être "plus modeste", en raison "surtout de la conjoncture extérieure".
La Banque du Canada doit détailler son scénario de prévisions économiques mondiales dans un rapport de politique monétaire qu'elle publiera mercredi.
Elle fera la prochaine annonce sur son taux le 8 mars.
"La Banque s'attend maintenant à ce que la récession en Europe soit plus profonde et dure plus longtemps quelle ne lavait anticipé en octobre", a indiqué l'établissement dans un communiqué.
"La Banque suppose encore que les autorités européennes mettront en œuvre les mesures suffisantes pour contenir la crise", a-t-elle ajouté tout en soulignant que "cette hypothèse" est moins certaine qu'auparavant.
Le maintien du taux directeur de la banque centrale canadienne, qui est fixé à 1% depuis l'automne 2010, était largement attendu par les analystes.
"La crise de la dette souveraine en Europe s'est intensifiée, les conditions sur les marchés financiers internationaux se sont resserrées et la version pour le risque a augmenté", a invoqué la Banque du Canada.
Aux Etats-Unis, la banque se réjouit d'un "redressement du PIB réel au deuxième semestre de 2011" qui a été "plus prononcé qu'escompté", mais elle prévoit néanmoins que la reprise dans ce pays "se poursuivra à un rythme plus modeste", compte tenu que les ménages remboursent leurs dettes et que l'assainissement budgétaire se poursuit. La situation en Europe aura également des répercussions aux Etats-Unis, ajoute-t-elle.
La banque remarque également qu'en Chine "le rythme d'expansion ralentit comme prévu pour se rapprocher d'un niveau plus soutenable".
Elle prévoit aussi que les cours des matières premières, à l'exception du pétrole, "devraient se situer jusqu'à la fin de 2013 à des niveaux inférieurs" à ceux qu'elle avait prévus l'automne dernier.
Au Canada, l'économie a fait montre "d'un plus grand dynamisme que prévu" en deuxième partie de 2011, mais la croissance projetée pour la période à venir risque d'être "plus modeste", en raison "surtout de la conjoncture extérieure".
La Banque du Canada doit détailler son scénario de prévisions économiques mondiales dans un rapport de politique monétaire qu'elle publiera mercredi.
Elle fera la prochaine annonce sur son taux le 8 mars.
"La Banque suppose encore que les autorités européennes mettront en œuvre les mesures suffisantes pour contenir la crise", a-t-elle ajouté tout en soulignant que "cette hypothèse" est moins certaine qu'auparavant.
Le maintien du taux directeur de la banque centrale canadienne, qui est fixé à 1% depuis l'automne 2010, était largement attendu par les analystes.
"La crise de la dette souveraine en Europe s'est intensifiée, les conditions sur les marchés financiers internationaux se sont resserrées et la version pour le risque a augmenté", a invoqué la Banque du Canada.
Aux Etats-Unis, la banque se réjouit d'un "redressement du PIB réel au deuxième semestre de 2011" qui a été "plus prononcé quescompté", mais elle prévoit néanmoins que la reprise dans ce pays "se poursuivra à un rythme plus modeste", compte tenu que les ménages remboursent leurs dettes et que l'assainissement budgétaire se poursuit. La situation en Europe aura également des répercussions aux Etats-Unis, ajoute-t-elle.
La banque remarque également qu'en Chine "le rythme d'expansion ralentit comme prévu pour se rapprocher d'un niveau plus soutenable".
Elle prévoit aussi que les cours des matières premières, à l'exception du pétrole, "devraient se situer jusqu’à la fin de 2013 à des niveaux inférieurs" à ceux qu'elle avait prévus l'automne dernier.
Au Canada, l'économie a fait montre "d'un plus grand dynamisme que prévu" en deuxième partie de 2011, mais la croissance projetée pour la période à venir risque d'être "plus modeste", en raison "surtout de la conjoncture extérieure".
La Banque du Canada doit détailler son scénario de prévisions économiques mondiales dans un rapport de politique monétaire qu'elle publiera mercredi.
Elle fera la prochaine annonce sur son taux le 8 mars.
"La Banque s'attend maintenant à ce que la récession en Europe soit plus profonde et dure plus longtemps quelle ne lavait anticipé en octobre", a indiqué l'établissement dans un communiqué.
"La Banque suppose encore que les autorités européennes mettront en œuvre les mesures suffisantes pour contenir la crise", a-t-elle ajouté tout en soulignant que "cette hypothèse" est moins certaine qu'auparavant.
Le maintien du taux directeur de la banque centrale canadienne, qui est fixé à 1% depuis l'automne 2010, était largement attendu par les analystes.
"La crise de la dette souveraine en Europe s'est intensifiée, les conditions sur les marchés financiers internationaux se sont resserrées et la version pour le risque a augmenté", a invoqué la Banque du Canada.
Aux Etats-Unis, la banque se réjouit d'un "redressement du PIB réel au deuxième semestre de 2011" qui a été "plus prononcé qu'escompté", mais elle prévoit néanmoins que la reprise dans ce pays "se poursuivra à un rythme plus modeste", compte tenu que les ménages remboursent leurs dettes et que l'assainissement budgétaire se poursuit. La situation en Europe aura également des répercussions aux Etats-Unis, ajoute-t-elle.
La banque remarque également qu'en Chine "le rythme d'expansion ralentit comme prévu pour se rapprocher d'un niveau plus soutenable".
Elle prévoit aussi que les cours des matières premières, à l'exception du pétrole, "devraient se situer jusqu'à la fin de 2013 à des niveaux inférieurs" à ceux qu'elle avait prévus l'automne dernier.
Au Canada, l'économie a fait montre "d'un plus grand dynamisme que prévu" en deuxième partie de 2011, mais la croissance projetée pour la période à venir risque d'être "plus modeste", en raison "surtout de la conjoncture extérieure".
La Banque du Canada doit détailler son scénario de prévisions économiques mondiales dans un rapport de politique monétaire qu'elle publiera mercredi.
Elle fera la prochaine annonce sur son taux le 8 mars.
