Les ministres finlandais et britannique chargés des affaires européennes ont assuré jeudi que les désaccords actuels au sein de l'Union européenne sur la politique économique ne menaçaient pas l'intégrité de l'UE.
"Ce qui se passe actuellement n'est qu'une sorte de friction entre les pays de la zone euro et les autres", a déclaré le ministre finlandais Alexander Stubb en conférence de presse, se référant aux négociations en cours pour enrayer le déclin économique de l'UE.
Selon M. Stubb, qui s'exprimait après avoir reçu à Helsinki le secrétaire d'Etat britannique David Lidington, il y aura toujours des alliances de circonstances au sein du bloc, "comme par exemple les pays (bénéficiant d'une note de crédit) triple A qui travaillent ensemble en étroite collaboration sur les règles et l'union économiques".
La Grande-Bretagne, non membre de la zone euro, a été le seul pays de l'UE a rejeter en décembre la proposition franco-allemande sur la mise en place de règles fiscales strictes dans toute l'Union.
M. Lidington a souligné que la décision de Londres était une illustration du processus de construction de l'UE.
"Inévitablement il y aura des discussions, des désaccords, des accrochages car chaque pays recherche son intérêt national", a déclaré M. Lidington en soulignant qu'il ne s'était "rien passé de particulier" depuis que Londres s'est singularisé en décembre.
"Nous continuons de participer pleinement à toutes les structures décisionnaires établies par le traité de Lisbonne", a-t-il assuré.
"Ce qui se passe actuellement n'est qu'une sorte de friction entre les pays de la zone euro et les autres", a déclaré le ministre finlandais Alexander Stubb en conférence de presse, se référant aux négociations en cours pour enrayer le déclin économique de l'UE.
Selon M. Stubb, qui s'exprimait après avoir reçu à Helsinki le secrétaire d'Etat britannique David Lidington, il y aura toujours des alliances de circonstances au sein du bloc, "comme par exemple les pays (bénéficiant d'une note de crédit) triple A qui travaillent ensemble en étroite collaboration sur les règles et l'union économiques".
La Grande-Bretagne, non membre de la zone euro, a été le seul pays de l'UE a rejeter en décembre la proposition franco-allemande sur la mise en place de règles fiscales strictes dans toute l'Union.
M. Lidington a souligné que la décision de Londres était une illustration du processus de construction de l'UE.
"Inévitablement il y aura des discussions, des désaccords, des accrochages car chaque pays recherche son intérêt national", a déclaré M. Lidington en soulignant qu'il ne s'était "rien passé de particulier" depuis que Londres s'est singularisé en décembre.
"Nous continuons de participer pleinement à toutes les structures décisionnaires établies par le traité de Lisbonne", a-t-il assuré.
