"Nous avons un intérêt commun à une résolution rapide de la crise dans la zone euro et à une accélération des travaux pour favoriser la croissance économique européenne et les créations d'emplois", a assuré M. Monti lors d'une conférence de presse commune avec M. Cameron.
"Nous sommes absolument d'accord sur le fait que l'Europe doit exploiter en premier lieu ses atouts, et le marché commun est sans doute le plus fondamental d'entre eux", a-t-il ajouté.
Le président du Conseil italien a notamment plaidé pour de nouvelles initiatives dans le domaine des services, une demande régulièrement formulée par Londres. Il a aussi souhaité que l'Union européenne se donne les moyens d'être "plus crédible dans l'application des règles existantes".
M. Monti devait ensuite se rendre dans les locaux du London stock exchange (LSE), l'opérateur de la Bourse de Londres, au moment où son pays de trouve dans la ligne de lire des marchés, avant de faire un discours à la London school of economics, l'une des plus prestigieuses universités de la capitale britannique.
Lors de la même conférence de presse, M. Cameron a souhaité pour sa part que l'UE "prenne à bras le corps le problème de sa compétitivité", précisant qu'il comptait aborder ce sujet en priorité lors du prochain sommet européen prévu fin janvier à Bruxelles.
Il a aussi réclamé que l'UE mette en place un programme spécifique pour augmenter ses échanges commerciaux avec les pays émergents à forte croissance, en citant l'Inde comme cible prioritaire.
Il a aussi profité de l'occasion pour redire que le Royaume-Uni n'était pas prêt à augmenter sa contribution au Fonds monétaire international pour soutenir des pays en difficulté mais pas pour venir au secours de l'euro.
Le FMI prête "aux pays et pas aux monnaies", a-t-il dit, ajoutant que la Grande-Bretagne est prête à agir mais "avec d'autres et pas uniquement dans le cadre d'une mesure concernant la zone euro".
"Nous sommes absolument d'accord sur le fait que l'Europe doit exploiter en premier lieu ses atouts, et le marché commun est sans doute le plus fondamental d'entre eux", a-t-il ajouté.
Le président du Conseil italien a notamment plaidé pour de nouvelles initiatives dans le domaine des services, une demande régulièrement formulée par Londres. Il a aussi souhaité que l'Union européenne se donne les moyens d'être "plus crédible dans l'application des règles existantes".
M. Monti devait ensuite se rendre dans les locaux du London stock exchange (LSE), l'opérateur de la Bourse de Londres, au moment où son pays de trouve dans la ligne de lire des marchés, avant de faire un discours à la London school of economics, l'une des plus prestigieuses universités de la capitale britannique.
Lors de la même conférence de presse, M. Cameron a souhaité pour sa part que l'UE "prenne à bras le corps le problème de sa compétitivité", précisant qu'il comptait aborder ce sujet en priorité lors du prochain sommet européen prévu fin janvier à Bruxelles.
Il a aussi réclamé que l'UE mette en place un programme spécifique pour augmenter ses échanges commerciaux avec les pays émergents à forte croissance, en citant l'Inde comme cible prioritaire.
Il a aussi profité de l'occasion pour redire que le Royaume-Uni n'était pas prêt à augmenter sa contribution au Fonds monétaire international pour soutenir des pays en difficulté mais pas pour venir au secours de l'euro.
Le FMI prête "aux pays et pas aux monnaies", a-t-il dit, ajoutant que la Grande-Bretagne est prête à agir mais "avec d'autres et pas uniquement dans le cadre d'une mesure concernant la zone euro".
