
"Nous prévoyons de dévoiler plus de détails sur les façons d'aborder cette réforme au printemps, et nous prévoyons de commencer à étudier des possibilités d'introduire une loi au Congrès" avec les commissions idoines des deux chambres, a déclaré M. Geithner lors d'une conférence de presse à Washington.
"Nous voulons travailler à l'élaboration d'une réforme complète afin de créer un système du financement de l'immobilier plus viable", a ajouté le ministre, précisant qu'il était nécessaire de "faire revenir les banques et les investisseurs privés sur ce marché à plus grande échelle" et à y diminuer le rôle de l'Etat.
Après plusieurs reports, le Trésor avait présenté en février 2011 trois pistes pour mener à bien le chantier de la réforme du financement du logement, présenté comme prioritaire depuis l'arrivée au pouvoir du président Barack Obama en janvier 2009, mais non intégré à la loi de réforme de Wall Street de 2010.
L'objectif premier du gouvernement est de mettre fin à la situation héritée de la mise sous tutelle publique des organismes de refinancement hypothécaire Fannie Mae et Freddie Mac en septembre 2008, qui a placé l'Etat dans la position d'assurer environ 90% du financement des nouveaux prêts immobiliers.
M. Geithner a redit jeudi que la réforme conduirait à "démanteler" ces deux organismes. En février 2011, il avait indiqué que cela pourrait prendre "cinq à sept ans".
Le ministre des Finances américains s'exprimait à l'occasion d'un point sur l'avancée de la réforme de la finance, dont nombre de dispositions légales doivent encore être inscrites dans la réglementation.
Il a jugé à cette occasion nuls et non avenus les arguments de ceux qui, dans l'opposition républicaine ou le monde de la finance, affirment que ces réformes nuisent à l'économie américaine.
"Il n'y a aucune preuve crédible permettant d'étayer l'argument selon lequel ces réformes ont un effet négatif sur la capacité de l'économie à se reprendre et à croître, et, en fait il y a une masse de preuves qui indiquent le contraire", a-t-il dit, sans plus de précision.
"Nous voulons travailler à l'élaboration d'une réforme complète afin de créer un système du financement de l'immobilier plus viable", a ajouté le ministre, précisant qu'il était nécessaire de "faire revenir les banques et les investisseurs privés sur ce marché à plus grande échelle" et à y diminuer le rôle de l'Etat.
Après plusieurs reports, le Trésor avait présenté en février 2011 trois pistes pour mener à bien le chantier de la réforme du financement du logement, présenté comme prioritaire depuis l'arrivée au pouvoir du président Barack Obama en janvier 2009, mais non intégré à la loi de réforme de Wall Street de 2010.
L'objectif premier du gouvernement est de mettre fin à la situation héritée de la mise sous tutelle publique des organismes de refinancement hypothécaire Fannie Mae et Freddie Mac en septembre 2008, qui a placé l'Etat dans la position d'assurer environ 90% du financement des nouveaux prêts immobiliers.
M. Geithner a redit jeudi que la réforme conduirait à "démanteler" ces deux organismes. En février 2011, il avait indiqué que cela pourrait prendre "cinq à sept ans".
Le ministre des Finances américains s'exprimait à l'occasion d'un point sur l'avancée de la réforme de la finance, dont nombre de dispositions légales doivent encore être inscrites dans la réglementation.
Il a jugé à cette occasion nuls et non avenus les arguments de ceux qui, dans l'opposition républicaine ou le monde de la finance, affirment que ces réformes nuisent à l'économie américaine.
"Il n'y a aucune preuve crédible permettant d'étayer l'argument selon lequel ces réformes ont un effet négatif sur la capacité de l'économie à se reprendre et à croître, et, en fait il y a une masse de preuves qui indiquent le contraire", a-t-il dit, sans plus de précision.
