
Le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, en campagne pour la présidentielle du 4 mars, a promis, dans un article publié lundi, d'augmenter considérablement les salaires dans le public, les retraites et les aides sociales, tout en baissant de 20% les prix de l'immobilier.
La longue tribune, publiée par le quotidien populaire Komsomolskaïa Pravda, traite de la future politique sociale de M. Poutine s'il est élu à la présidence jusqu'en 2018.
Il promet notamment d'augmenter les salaires des professeurs des universités et des médecins de 200% entre 2013 et 2018, ainsi que des bourses d'études, des retraites et des allocations familiales plus élevées.
Par ailleurs, en développant le secteur du bâtiment, en abaissant les prix des matériaux de construction et les taux d'intérêts, Vladimir Poutine promet une baisse de 20% à 30%, suivant les régions, des prix de l'immobilier en Russie.
Il assure aussi qu'il développera les aides à la création dans le domaine de la culture, améliorera la qualité des services communaux et de l'éducation dès la maternelle.
Vladimir Poutine est confronté depuis décembre à un mouvement de contestation sans précédent depuis son arrivée à la tête de la Russie en 2000. Ses détracteurs l'accusent de multiplier les promesses populistes irréalisables, pour répondre au mécontentement.
La longue tribune, publiée par le quotidien populaire Komsomolskaïa Pravda, traite de la future politique sociale de M. Poutine s'il est élu à la présidence jusqu'en 2018.
Il promet notamment d'augmenter les salaires des professeurs des universités et des médecins de 200% entre 2013 et 2018, ainsi que des bourses d'études, des retraites et des allocations familiales plus élevées.
Par ailleurs, en développant le secteur du bâtiment, en abaissant les prix des matériaux de construction et les taux d'intérêts, Vladimir Poutine promet une baisse de 20% à 30%, suivant les régions, des prix de l'immobilier en Russie.
Il assure aussi qu'il développera les aides à la création dans le domaine de la culture, améliorera la qualité des services communaux et de l'éducation dès la maternelle.
Vladimir Poutine est confronté depuis décembre à un mouvement de contestation sans précédent depuis son arrivée à la tête de la Russie en 2000. Ses détracteurs l'accusent de multiplier les promesses populistes irréalisables, pour répondre au mécontentement.
