"Du point de vue du FMI, j'attends que toutes les parties intéressées et tous les partenaires contribuent à mettre en place une solution qui soit pérenne dans le long terme pour ce pays", a-t-elle dit en marge d'une conférence dans la capitale allemande.
"De mon point de vue, il faut que l'ensemble soit pérenne, parce que nous voulons que le pays fasse des progrès, et nous voulons qu'il retourne sur le marché à un moment donné", a-t-elle ajouté, "il ne peut pas rester sous perfusion".
Des aides du FMI, de la Commission européenne et de la Banque centrale européenne (BCE) maintiennent la Grèce à flot depuis le printemps 2010, mais le versement d'une nouvelle tranche de ce soutien est conditionné à la conclusion de négociations entre Athènes et ses créanciers privés sur un effacement d'une partie de sa dette abyssale de plus de 350 milliards d'euros.
La Commission européenne a dit lundi espérer qu'un accord sur la réduction de la dette grecque sera trouvé rapidement, "de préférence cette semaine", semblant confirmer les difficultés rencontrées par les négociateurs pour finaliser un compromis.
Les représentants du secteur privé ont indiqué avoir fait la meilleurs offre possible, et renvoyé la balle aux institutions européennes et au FMI. Ce dernier notamment pousse manifestement à ce que les banques consentent à des pertes plus importantes que prévu, au vu de la détérioration de la situation économique du pays.
"De mon point de vue, il faut que l'ensemble soit pérenne, parce que nous voulons que le pays fasse des progrès, et nous voulons qu'il retourne sur le marché à un moment donné", a-t-elle ajouté, "il ne peut pas rester sous perfusion".
Des aides du FMI, de la Commission européenne et de la Banque centrale européenne (BCE) maintiennent la Grèce à flot depuis le printemps 2010, mais le versement d'une nouvelle tranche de ce soutien est conditionné à la conclusion de négociations entre Athènes et ses créanciers privés sur un effacement d'une partie de sa dette abyssale de plus de 350 milliards d'euros.
La Commission européenne a dit lundi espérer qu'un accord sur la réduction de la dette grecque sera trouvé rapidement, "de préférence cette semaine", semblant confirmer les difficultés rencontrées par les négociateurs pour finaliser un compromis.
Les représentants du secteur privé ont indiqué avoir fait la meilleurs offre possible, et renvoyé la balle aux institutions européennes et au FMI. Ce dernier notamment pousse manifestement à ce que les banques consentent à des pertes plus importantes que prévu, au vu de la détérioration de la situation économique du pays.
