"Je suis confiant dans le fait que nous pourrons conclure un accord rapidement, de préférence cette semaine", a indiqué le commissaire aux Affaires économiques Olli Rehn, à son arrivée à une réunion de l'Eurogroupe, le forum des ministres des Finances de la zone euro, à Bruxelles.
Un accord sur ce point entre autorités grecques et créanciers privés du pays était attendu initialement pour ce lundi, de telle sorte que les ministres des Finances de la zone euro puissent en examiner les termes.
Mais face aux difficultés rencontrées, l'objectif est désormais à Athènes d'avoir un accord sur la table d'ici au sommet des dirigeants européens le 30 janvier.
Les discussions traînent en longueur depuis une dizaine de jours car les négociateurs grecs, soutenus par le FMI, ont insisté pour que les pertes volontaires des banques soient plus importantes que prévu, au vu de la détérioration de la situation économique du pays.
Les créanciers privés comme les banques et les fonds d'investissement doivent donc accepter de perdre volontairement plus de 50% sur les obligations grecques qu'elles possèdent. En échange, ils négocient âprement le niveau du taux d'intérêt qui leur sera accordé pour leurs nouveaux titres de dette.
Les banques proposent de rester aux alentours de 4%, quand le FMI voudrait un taux beaucoup plus bas, qui soulagerait la Grèce, aux prises avec une récession aggravée, et rendrait la dette plus soutenable à terme.
M. Rehn a écarté toute nouvelle aide en faveur de la Grèce, estimant qu'il fallait "s'en tenir" aux décisions prises en octobre dernier.
Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE s'étaient alors mis d'accord pour accorder un nouveau plan d'aide à Athènes de 130 milliards d'euros, à condition que les banques acceptent d'effacer 50% de la dette grecque qu'elles détiennent.
Un accord sur ce point entre autorités grecques et créanciers privés du pays était attendu initialement pour ce lundi, de telle sorte que les ministres des Finances de la zone euro puissent en examiner les termes.
Mais face aux difficultés rencontrées, l'objectif est désormais à Athènes d'avoir un accord sur la table d'ici au sommet des dirigeants européens le 30 janvier.
Les discussions traînent en longueur depuis une dizaine de jours car les négociateurs grecs, soutenus par le FMI, ont insisté pour que les pertes volontaires des banques soient plus importantes que prévu, au vu de la détérioration de la situation économique du pays.
Les créanciers privés comme les banques et les fonds d'investissement doivent donc accepter de perdre volontairement plus de 50% sur les obligations grecques qu'elles possèdent. En échange, ils négocient âprement le niveau du taux d'intérêt qui leur sera accordé pour leurs nouveaux titres de dette.
Les banques proposent de rester aux alentours de 4%, quand le FMI voudrait un taux beaucoup plus bas, qui soulagerait la Grèce, aux prises avec une récession aggravée, et rendrait la dette plus soutenable à terme.
M. Rehn a écarté toute nouvelle aide en faveur de la Grèce, estimant qu'il fallait "s'en tenir" aux décisions prises en octobre dernier.
Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE s'étaient alors mis d'accord pour accorder un nouveau plan d'aide à Athènes de 130 milliards d'euros, à condition que les banques acceptent d'effacer 50% de la dette grecque qu'elles détiennent.
