"Nous voulons savoir rapidement, aussi vite que possible, au plus tard à la fin du premier trimestre, si cette proposition peut marcher et si cela vaut le coup d'y travailler", a déclaré le porte-parole du ministère allemand des Finances, Martin Kotthaus, lors d'un point-presse régulier.
"Sinon, nous avons besoin de voir s'il y a d'autres alternatives", a-t-il ajouté.
Le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert, a salué comme "intelligente et raisonnable" une proposition faite par le ministre de l'Economie, Philipp Rösler, d'une taxe sur les activités boursières, estimant que cette solution de compromis pourrait "rallier les Britanniques".
M. Seibert a toutefois souligné que Berlin poussait à une taxe sur les transactions financières sur la base d'une proposition de la Commission "car cela correspond à notre demande d'un impôt large à taux peu élevé".
Dans un entretien au quotidien allemand Rheinische Post paru vendredi, M. Rösler avait proposé de réfléchir à la possibilité pour les Etats de l'UE de suivre le modèle britannique de taxation sur les transactions boursières.
"Les Britanniques ont déjà un type spécial de taxe sur la bourse, ce que l'on appelle le 'droit de timbre', a-t-il dit. Au Royaume-Uni, le droit de timbre s'applique sur toutes les transactions en action et s'élève à 0,5% de la valeur de la transaction.
"Si les Britanniques ne peuvent pas faire un pas en direction du modèle européen sur une taxe sur les transactions financières, alors il pourrait être raisonnable de discuter du modèle britannique avec la Grande-Bretagne et les autres pays européens", a dit M. Rösler.
"Sinon, nous avons besoin de voir s'il y a d'autres alternatives", a-t-il ajouté.
Le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Seibert, a salué comme "intelligente et raisonnable" une proposition faite par le ministre de l'Economie, Philipp Rösler, d'une taxe sur les activités boursières, estimant que cette solution de compromis pourrait "rallier les Britanniques".
M. Seibert a toutefois souligné que Berlin poussait à une taxe sur les transactions financières sur la base d'une proposition de la Commission "car cela correspond à notre demande d'un impôt large à taux peu élevé".
Dans un entretien au quotidien allemand Rheinische Post paru vendredi, M. Rösler avait proposé de réfléchir à la possibilité pour les Etats de l'UE de suivre le modèle britannique de taxation sur les transactions boursières.
"Les Britanniques ont déjà un type spécial de taxe sur la bourse, ce que l'on appelle le 'droit de timbre', a-t-il dit. Au Royaume-Uni, le droit de timbre s'applique sur toutes les transactions en action et s'élève à 0,5% de la valeur de la transaction.
"Si les Britanniques ne peuvent pas faire un pas en direction du modèle européen sur une taxe sur les transactions financières, alors il pourrait être raisonnable de discuter du modèle britannique avec la Grande-Bretagne et les autres pays européens", a dit M. Rösler.
