"Un accord semble se dessiner" en vue d'une restructuration "volontaire" de la dette grecque par les banques qui en détiennent, a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse commune avec son homologue allemand Wolfgang Schäuble à Paris.
Les deux ministres, qui devaient ensuite se rendre à Bruxelles pour une réunion avec leurs homologues européens au cours de laquelle Athènes exposera l'état d'avancement des négociations avec les créanciers privés, n'en ont pas dit davantage.
Les négociations, qui peinent à aboutir, visent à effacer quelque 100 milliards d'euros de dette grecque afin qu'elle redescende à 120% du produit intérieur brut (PIB) de la Grèce en 2020 contre plus de 160% actuellement.
Plus largement, François Baroin et Wolfgang Schäuble ont fait part d'un optimisme prudent sur la situation de la zone euro.
"Il existe des signes d'une certaine stabilisation de la situation en zone euro (...) et les investisseurs semblent prendre conscience des réformes importantes accomplies par la grande majorité des Etats membres", a estimé le ministre français.
"Il faut se garder de tout triomphalisme et au contraire consolider cette stabilisation par des avancées institutionnelles puissantes", a-t-il toutefois ajouté.
De la même manière, le ministre allemand a jugé que la situation semblait s'améliorer. "Nous sommes sur la bonne voie, mais il est encore trop tôt pour dire que le pire est derrière nous, je l'espère mais je reste prudent", a-t-il insisté.
Les deux ministres, qui devaient ensuite se rendre à Bruxelles pour une réunion avec leurs homologues européens au cours de laquelle Athènes exposera l'état d'avancement des négociations avec les créanciers privés, n'en ont pas dit davantage.
Les négociations, qui peinent à aboutir, visent à effacer quelque 100 milliards d'euros de dette grecque afin qu'elle redescende à 120% du produit intérieur brut (PIB) de la Grèce en 2020 contre plus de 160% actuellement.
Plus largement, François Baroin et Wolfgang Schäuble ont fait part d'un optimisme prudent sur la situation de la zone euro.
"Il existe des signes d'une certaine stabilisation de la situation en zone euro (...) et les investisseurs semblent prendre conscience des réformes importantes accomplies par la grande majorité des Etats membres", a estimé le ministre français.
"Il faut se garder de tout triomphalisme et au contraire consolider cette stabilisation par des avancées institutionnelles puissantes", a-t-il toutefois ajouté.
De la même manière, le ministre allemand a jugé que la situation semblait s'améliorer. "Nous sommes sur la bonne voie, mais il est encore trop tôt pour dire que le pire est derrière nous, je l'espère mais je reste prudent", a-t-il insisté.
