En raison de l'arrivée tardive à Athènes de M. Dallara, qui représente le lobby bancaire mondial, en l'occurrence les créanciers privés de la Grèce, aucune réunion n'était prévue "jusqu'ici" pour mercredi. Les entretiens vont reprendre "dès que cela sera possible", selon la même source.
Selon la base de l'accord prévu par l'UE, les créanciers privés de la Grèce (banques, sociétés d'assurance, fonds spéculatifs...) doivent accepter un effacement d'au moins 50% de la dette du pays qu'elles détiennent (soit 100 milliards d'euros) et un échange de titres, avec une maturité pouvant aller de 20 à 30 ans, pour le reste.
Le processus de restructuration de la dette grecque se trouve à un point crucial après l'interruption des discussions avec les créanciers privés vendredi, en raison surtout d'un désaccord sur le coupon des nouvelles obligations qui seront émises.
Toutefois, le gouvernement grec continue de se dire confiant dans la possibilité de conclure à temps un accord.
Le Premier ministre grec, Lucas Papademos, a réitéré dans un entretien accordé au International Herald Tribune publié mercredi que "tout en prenant en compte la complexité de cette opération, la conclusion d'un accord est très proche".
Interrogé sur le pourcentage de participation des créanciers privés à cet accord, M. Papademos n'a pas exclu, selon le journal, qu'une loi soit adoptée, au cas où les 100% ne soient pas atteints, pour permettre de réclamer aux minoritaires qui n'accepteront pas l'accord d'assumer les pertes.
"Cela dépend du pourcentage de participation (des créanciers privés). Rien n'est exclu, c'est une conséquence du pourcentage", a-t-il dit en faisant référence à l'instauration éventuelle d'une clause d'action collective (CAC) largement divulguée dans la presse depuis la semaine dernière.
La Grèce vit toujours sous la menace d'un défaut de paiement dès le mois de mars, en raison de l'arrivée à échéance d'obligations grecques portant sur un montant de plus de 14 milliards d'euros, et M. Papademos a indiqué que son pays comptait sur la nouvelle aide de l'UE pour la Grèce, qui s'élève à 130 milliards d'euros.
"Je crois que les événements prouvent que les partenaires européens ont pris des mesures extraordinaires pour aider la Grèce à faire face à ses problèmes", a indiqué M. Papademos.
Selon la base de l'accord prévu par l'UE, les créanciers privés de la Grèce (banques, sociétés d'assurance, fonds spéculatifs...) doivent accepter un effacement d'au moins 50% de la dette du pays qu'elles détiennent (soit 100 milliards d'euros) et un échange de titres, avec une maturité pouvant aller de 20 à 30 ans, pour le reste.
Le processus de restructuration de la dette grecque se trouve à un point crucial après l'interruption des discussions avec les créanciers privés vendredi, en raison surtout d'un désaccord sur le coupon des nouvelles obligations qui seront émises.
Toutefois, le gouvernement grec continue de se dire confiant dans la possibilité de conclure à temps un accord.
Le Premier ministre grec, Lucas Papademos, a réitéré dans un entretien accordé au International Herald Tribune publié mercredi que "tout en prenant en compte la complexité de cette opération, la conclusion d'un accord est très proche".
Interrogé sur le pourcentage de participation des créanciers privés à cet accord, M. Papademos n'a pas exclu, selon le journal, qu'une loi soit adoptée, au cas où les 100% ne soient pas atteints, pour permettre de réclamer aux minoritaires qui n'accepteront pas l'accord d'assumer les pertes.
"Cela dépend du pourcentage de participation (des créanciers privés). Rien n'est exclu, c'est une conséquence du pourcentage", a-t-il dit en faisant référence à l'instauration éventuelle d'une clause d'action collective (CAC) largement divulguée dans la presse depuis la semaine dernière.
La Grèce vit toujours sous la menace d'un défaut de paiement dès le mois de mars, en raison de l'arrivée à échéance d'obligations grecques portant sur un montant de plus de 14 milliards d'euros, et M. Papademos a indiqué que son pays comptait sur la nouvelle aide de l'UE pour la Grèce, qui s'élève à 130 milliards d'euros.
"Je crois que les événements prouvent que les partenaires européens ont pris des mesures extraordinaires pour aider la Grèce à faire face à ses problèmes", a indiqué M. Papademos.
