"Nous allons continuer de négocier vers 19H30 (17H30 GMT) a indiqué Evangélos Vénizélos vendredi, en sortant d'un nouveau round de discussion avec la délégation de l'Institut de la Finance Internationale (IIF).
"Entre temps, il va y avoir une téléconférence du euro working group", a ajouté M. Vénoizélos. Il s'agit d'un groupe de travail réunissant les directeurs du Trésor des pays de la zone euro dont les travaux servent souvent de base pour les réunions de l'Eurogroupe.
La réunion vendredi matin entre le gouvernement et ses créanciers a duré une heure et demi environ.
Le représentant du lobby bancaire international IIF Charles Dallara accompagné du Français Jean Lemierre mènent la délégation côté banques face au gouvernement grec représenté par le Premier ministre Lucas Papademos et M. Vénizélos pour discuter des modalités de l'effacement d'une partie de la dette du pays détenue par des créanciers privés, une condition préalable pour la mise en oeuvre du deuxième plan d'aide au pays décidé par la zone euro.
Après avoir été suspendues vendredi dernier, ces délicates discussions pour que les banques renoncent volontairement à 100 milliards de créance grecque ont repris mercredi, les participants faisant régulièrement état d'avancées et de progrès.
"Entre temps, il va y avoir une téléconférence du euro working group", a ajouté M. Vénoizélos. Il s'agit d'un groupe de travail réunissant les directeurs du Trésor des pays de la zone euro dont les travaux servent souvent de base pour les réunions de l'Eurogroupe.
La réunion vendredi matin entre le gouvernement et ses créanciers a duré une heure et demi environ.
Le représentant du lobby bancaire international IIF Charles Dallara accompagné du Français Jean Lemierre mènent la délégation côté banques face au gouvernement grec représenté par le Premier ministre Lucas Papademos et M. Vénizélos pour discuter des modalités de l'effacement d'une partie de la dette du pays détenue par des créanciers privés, une condition préalable pour la mise en oeuvre du deuxième plan d'aide au pays décidé par la zone euro.
Après avoir été suspendues vendredi dernier, ces délicates discussions pour que les banques renoncent volontairement à 100 milliards de créance grecque ont repris mercredi, les participants faisant régulièrement état d'avancées et de progrès.
