Le chef négociateur du côté des banques, l'Américain Charles Dallara, a été vu sur le perron du palais peu après 20H00 GMT, avant de rentrer de nouveau dans le bâtiment.
Quatre hommes participent aux discussions: M. Dallara, le Français Jean Lemierre, détaché de la BNP, le Premier ministre grec Lucas Papademos, ancien vice-président de la Banque centrale européenne, et le ministre des Finances Evangélos Vénizélos.
Après plus d'une semaine de discussions serrées à Athènes, la plupart des médias grecs, alimentés en fuites diverses, estimaient vendredi soir que les deux parties étaient à deux doigts d'un accord-cadre fixant les modalités d'effacement volontaire de 100 milliards de dette grecque détenue par les créanciers privés.
Mais cette négociation, vitale pour l'avenir de la Grèce et unique en son genre, se déroule dans une atmosphère tendue, en lien permanent avec Bruxelles, Washington, Berlin et Paris, où se trouvent les créanciers institutionnels du pays (UE et FMI) qui ont eux aussi entamé vendredi une nouvelle négociation avec Athènes en vue de l'attribution d'un deuxième plan d'aide au pays.
Vendredi soir, le site internet du journal Kathimerini (partenaire en Grèce du International Herald Tribune) suggérait d'ailleurs que la troïka des créanciers institutionnels avait demandé dans la soirée que les nouvelles obligations qui seront émises portent un taux d'intérêt beaucoup plus bas que ce qui était envisagé jusqu'à présent, afin d'alléger davantage le fardeau des Grecs.
Une telle option est susceptible d'augmenter de fait les pertes réelles que subiront les banques dans le processus de restructuration de dette censé éviter une faillite désordonnée du pays en mars, qui menacerait l'intégrité et la survie de la Grèce, mais aussi de la zone euro.
Les discussions avaient déjà été suspendues vendredi dernier, suite à un coup de poker et un désaccord sur le taux d'intérêt que devra payer la Grèce sur les nouvelles obligations, ce qui avait alimenté les rumeurs de marché sur un défaut de paiement de la Grèce.
Quatre hommes participent aux discussions: M. Dallara, le Français Jean Lemierre, détaché de la BNP, le Premier ministre grec Lucas Papademos, ancien vice-président de la Banque centrale européenne, et le ministre des Finances Evangélos Vénizélos.
Après plus d'une semaine de discussions serrées à Athènes, la plupart des médias grecs, alimentés en fuites diverses, estimaient vendredi soir que les deux parties étaient à deux doigts d'un accord-cadre fixant les modalités d'effacement volontaire de 100 milliards de dette grecque détenue par les créanciers privés.
Mais cette négociation, vitale pour l'avenir de la Grèce et unique en son genre, se déroule dans une atmosphère tendue, en lien permanent avec Bruxelles, Washington, Berlin et Paris, où se trouvent les créanciers institutionnels du pays (UE et FMI) qui ont eux aussi entamé vendredi une nouvelle négociation avec Athènes en vue de l'attribution d'un deuxième plan d'aide au pays.
Vendredi soir, le site internet du journal Kathimerini (partenaire en Grèce du International Herald Tribune) suggérait d'ailleurs que la troïka des créanciers institutionnels avait demandé dans la soirée que les nouvelles obligations qui seront émises portent un taux d'intérêt beaucoup plus bas que ce qui était envisagé jusqu'à présent, afin d'alléger davantage le fardeau des Grecs.
Une telle option est susceptible d'augmenter de fait les pertes réelles que subiront les banques dans le processus de restructuration de dette censé éviter une faillite désordonnée du pays en mars, qui menacerait l'intégrité et la survie de la Grèce, mais aussi de la zone euro.
Les discussions avaient déjà été suspendues vendredi dernier, suite à un coup de poker et un désaccord sur le taux d'intérêt que devra payer la Grèce sur les nouvelles obligations, ce qui avait alimenté les rumeurs de marché sur un défaut de paiement de la Grèce.
