"Le Fonds monétaire international (FMI) va travailler à un nouveau programme (d'aide) avec les Grecs. Mais nous ne serons en mesure de donner notre feu vert que si les partis au pouvoir et les autres sont d'accord" pour mettre en oeuvre les réformes et "cela doit être fait par écrit", a déclaré mardi la ministre autrichienne des Finances, Maria Fekter.
Quant à son collègue néerlandais, Jan Kees de Jager, il a jugé qu'"un niveau soutenable de dette était une indispensable condition préalable pour le prochain programme" d'aide à la Grèce.
"Il est clair que la mise en oeuvre des réformes en Grèce a échoué", a déclaré de son côté leur homologue suédois, Anders Borg, dont le pays ne fait pas partie de la zone euro, en marge d'une réunion des ministres des Finances de l'Union européenne à Bruxelles.
"En matière de réformes structurelles, de réformes budgétaires, ils (les Grecs) n'ont pas été à la hauteur", a-t-il jugé.
La zone euro a haussé le ton lundi soir à l'égard de la Grèce en conditionnant tout nouveau prêt à des efforts supplémentaires, tout en réclamant de ses créanciers privés un geste plus important pour réduire la dette du pays et éviter la faillite.
Le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn, a mis l'accent sur la nécessité pour Athènes d'"accélérer la mise en place de réformes structurelles pour renforcer son économie et sa croissance", faute de quoi le nouveau programme de 130 milliards de prêts européens promis en octobre dernier à la Grèce, et toujours pas concrétisé, ne pourra commencer à être versé.
Le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, s'est contenté de déclarer mardi matin que son pays avait "le feu vert de l'Eurogroupe pour mettre le point final à un accord avec le secteur privé dans les prochains jours".
Le chef de file des ministres de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a estimé lundi soir que la contribution du secteur privé était en l'état insuffisante. Il a appelé à ce que les taux d'intérêt pour les nouvelles obligations que doivent recevoir les banques en échange des anciennes soient "clairement en dessous de 4%", alors que le secteur privé demande au moins ce niveau.
Quant à son collègue néerlandais, Jan Kees de Jager, il a jugé qu'"un niveau soutenable de dette était une indispensable condition préalable pour le prochain programme" d'aide à la Grèce.
"Il est clair que la mise en oeuvre des réformes en Grèce a échoué", a déclaré de son côté leur homologue suédois, Anders Borg, dont le pays ne fait pas partie de la zone euro, en marge d'une réunion des ministres des Finances de l'Union européenne à Bruxelles.
"En matière de réformes structurelles, de réformes budgétaires, ils (les Grecs) n'ont pas été à la hauteur", a-t-il jugé.
La zone euro a haussé le ton lundi soir à l'égard de la Grèce en conditionnant tout nouveau prêt à des efforts supplémentaires, tout en réclamant de ses créanciers privés un geste plus important pour réduire la dette du pays et éviter la faillite.
Le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn, a mis l'accent sur la nécessité pour Athènes d'"accélérer la mise en place de réformes structurelles pour renforcer son économie et sa croissance", faute de quoi le nouveau programme de 130 milliards de prêts européens promis en octobre dernier à la Grèce, et toujours pas concrétisé, ne pourra commencer à être versé.
Le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, s'est contenté de déclarer mardi matin que son pays avait "le feu vert de l'Eurogroupe pour mettre le point final à un accord avec le secteur privé dans les prochains jours".
Le chef de file des ministres de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a estimé lundi soir que la contribution du secteur privé était en l'état insuffisante. Il a appelé à ce que les taux d'intérêt pour les nouvelles obligations que doivent recevoir les banques en échange des anciennes soient "clairement en dessous de 4%", alors que le secteur privé demande au moins ce niveau.
