L'Institut de la finance internationale (IIF), qui négocie avec Athènes, au nom des banques, un accord devant permettre de restructurer la dette publique grecque, a estimé jeudi que le temps commençait à "être compté" pour ces discussions.
"Le temps commence à être compté pour parvenir à un accord", a indiqué l'IIF dans un communiqué publié à l'issue d'une rencontre de son président, Charles Dallara, à Athènes avec le Premier ministre grec, Lucas Papademos, et son ministre des Finances, Evangélos Vénizélos.
"Un certain nombre de questions clefs ne sont toujours pas résolues", ajoute l'IIF, notant que "les discussions continueront à Athènes demain" (vendredi).
"Il est essentiel que toutes les parties officielles donnent leur accord dans les jours qui viennent afin que" les banques puissent mettre au point l'effacement volontaire de 100 milliards d'euros de dette publique grecque convenu fin octobre avec les dirigeants de la zone euro, ajoute le communiqué publié au nom de M. Dallara.
"Comme la chancelière (allemande Angela) Merkel et le président (français Nicolas) Sarkozy l'ont souligné cette semaine lors de leur conférence de presse à Berlin, il est important que la Grèce parvienne à un accord avec le secteur privé sur un échange de dette volontaire dès que possible", estime l'IIF.
"Le temps commence à être compté pour parvenir à un accord", a indiqué l'IIF dans un communiqué publié à l'issue d'une rencontre de son président, Charles Dallara, à Athènes avec le Premier ministre grec, Lucas Papademos, et son ministre des Finances, Evangélos Vénizélos.
"Un certain nombre de questions clefs ne sont toujours pas résolues", ajoute l'IIF, notant que "les discussions continueront à Athènes demain" (vendredi).
"Il est essentiel que toutes les parties officielles donnent leur accord dans les jours qui viennent afin que" les banques puissent mettre au point l'effacement volontaire de 100 milliards d'euros de dette publique grecque convenu fin octobre avec les dirigeants de la zone euro, ajoute le communiqué publié au nom de M. Dallara.
"Comme la chancelière (allemande Angela) Merkel et le président (français Nicolas) Sarkozy l'ont souligné cette semaine lors de leur conférence de presse à Berlin, il est important que la Grèce parvienne à un accord avec le secteur privé sur un échange de dette volontaire dès que possible", estime l'IIF.
