Le Premier ministre italien Mario Monti a estimé jeudi à Washington que l'Italie n'en est "pas à un point où elle a besoin d'aide financière [...] mais elle a besoin d'une meilleure gouvernance".
Il a rappelé son soutien à la création d'un pare-feu plus puissant que celui actuellement prévu (MES - 500 milliards d'euros de capacité d’intervention).
Concernant la situation en Grèce, M. Monti juge que le programme de rigueur auquel les partis politiques en Grèce ont donné leur accord jeudi doit être un minimum concrétisé. "C'est le moment de tourner la page et d'éteindre cette grande explosion potentielle", a-t-il souligné.
Le chef du gouvernement italien a souligné les progrès faits par son pays pour rassurer les investisseurs en tâchant de réformer son économie.
"Nous avons le sentiment qu'il y a un lien entre le degré auquel l'Italie réussira à se transformer de problème en élément de la solution --et je pense que nous sommes plutôt avancés à cet égard--, le degré auquel cette expérience va s'avérer fructueuse en Italie, et le degré auquel l'Italie essaiera d'exercer une influence" dans la zone euro, a-t-il expliqué.
Il a félicité les Italiens pour leur adhésion aux réformes. Selon lui, "ils avaient une demande refoulée de gouvernance. C'était le système politique qui peut-être était un peu hésitant à offrir normalement cette gouvernance".
avec source AFP
Il a rappelé son soutien à la création d'un pare-feu plus puissant que celui actuellement prévu (MES - 500 milliards d'euros de capacité d’intervention).
Concernant la situation en Grèce, M. Monti juge que le programme de rigueur auquel les partis politiques en Grèce ont donné leur accord jeudi doit être un minimum concrétisé. "C'est le moment de tourner la page et d'éteindre cette grande explosion potentielle", a-t-il souligné.
Le chef du gouvernement italien a souligné les progrès faits par son pays pour rassurer les investisseurs en tâchant de réformer son économie.
"Nous avons le sentiment qu'il y a un lien entre le degré auquel l'Italie réussira à se transformer de problème en élément de la solution --et je pense que nous sommes plutôt avancés à cet égard--, le degré auquel cette expérience va s'avérer fructueuse en Italie, et le degré auquel l'Italie essaiera d'exercer une influence" dans la zone euro, a-t-il expliqué.
Il a félicité les Italiens pour leur adhésion aux réformes. Selon lui, "ils avaient une demande refoulée de gouvernance. C'était le système politique qui peut-être était un peu hésitant à offrir normalement cette gouvernance".
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