"La mise en œuvre de notre programme n'est pas remis en cause, indépendamment de ce qui se passera en Grèce", a déclaré M. Passos Coelho, alors que des négociations difficiles se poursuivent à Athènes pour arracher l'aval des partis sur les mesures d'austérité exigées par les bailleurs de fonds du pays afin d'éviter un défaut de paiement en mars.
"Nous ne laisserons pas se produire au Portugal ce qui est en train de se passer en Grèce", a affirmé le chef du gouvernement qui a insisté sur les différences entre les deux pays.
A l'instar de la Grèce et de l'Irlande, le Portugal a obtenu en mai un prêt de 78 milliards d'euros de l'Union européenne et du Fonds monétaire international pour assainir ses finances et relancer son économie.
En échange de cette aide, Lisbonne s'est engagé à appliquer un exigeant programme de rigueur et de réformes sur trois ans, qui provoquera cette année une récession de 3% du PIB.
"Quel que soit le résultat des négociations à Athènes, le Portugal a besoin de corriger ses déséquilibres", a insisté M. Passos Coelho, ajoutant que le programme d'aide accordé au Portugal était "réalisable malgré des mesures très dures".
Investisseurs et analystes ont exprimé ces derniers jours une inquiétude grandissante que le pays ne puisse se refinancer normalement à partir de 2013 comme prévu et soit, après la Grèce, contraint de demander une nouvelle enveloppe financière à ses créanciers publics, voire de restructurer sa dette.
La situation du Portugal "est beaucoup plus proche de celle de l'Irlande qui a entamé son programme il y a plus longtemps", a-t-il souligné.
"Les indicateurs dont nous disposons sur l'exécution de notre programme sont positifs et nous amènent à croire que nous conclurons notre programme avec succès", a-t-il relevé.
"Nous ne laisserons pas se produire au Portugal ce qui est en train de se passer en Grèce", a affirmé le chef du gouvernement qui a insisté sur les différences entre les deux pays.
A l'instar de la Grèce et de l'Irlande, le Portugal a obtenu en mai un prêt de 78 milliards d'euros de l'Union européenne et du Fonds monétaire international pour assainir ses finances et relancer son économie.
En échange de cette aide, Lisbonne s'est engagé à appliquer un exigeant programme de rigueur et de réformes sur trois ans, qui provoquera cette année une récession de 3% du PIB.
"Quel que soit le résultat des négociations à Athènes, le Portugal a besoin de corriger ses déséquilibres", a insisté M. Passos Coelho, ajoutant que le programme d'aide accordé au Portugal était "réalisable malgré des mesures très dures".
Investisseurs et analystes ont exprimé ces derniers jours une inquiétude grandissante que le pays ne puisse se refinancer normalement à partir de 2013 comme prévu et soit, après la Grèce, contraint de demander une nouvelle enveloppe financière à ses créanciers publics, voire de restructurer sa dette.
La situation du Portugal "est beaucoup plus proche de celle de l'Irlande qui a entamé son programme il y a plus longtemps", a-t-il souligné.
"Les indicateurs dont nous disposons sur l'exécution de notre programme sont positifs et nous amènent à croire que nous conclurons notre programme avec succès", a-t-il relevé.
