Dès vendredi matin à 07H00 GMT, Poul Thomsen (FMI) et Matias Mors (zone euro) ont été reçus par M. Vénizelos, pour discuter de l'avancement du premier programme d'assainissement de l'économie grecque et des mesures à venir, pour décrocher le versement de 130 milliards d'euros d'aide européenne supplémentaire, décidé fin octobre à Bruxelles.
Jeudi, le porte-parole du gouvernement Pantélis Kapsis n'a pas exclu la nécessité d'adopter de nouvelles mesures d'austérité, pour redresser l'économie du pays, qui s'est enfoncée dans la récession en 2011 et peine face à la crise de la dette depuis deux ans.
La France a prévenu vendredi que "l'Europe ne paiera pas davantage" pour la Grèce que ce qui est prévu dans les accords européens de fin octobre.
L'arrivée des représentants de l'UE et du FMI coïncide avec les entretiens cruciaux en cours à Athènes entre le représentant du lobby bancaire international Charles Dallara (IIF) et le gouvernement grec sur l'effacement d'une partie de la dette privée du pays, une condition préalable pour la mise en oeuvre du deuxième plan d'aide au pays.
Après avoir échoué vendredi dernier, les discussions pour que les banques renoncent volontairement à 100 milliards de créance grecque ont repris mercredi, les participants faisant régulièrement état d'avancées et de progrès.
En début d'après-midi vendredi, M. Vénizelos et le Premier ministre Lucas Papademos doivent d'ailleurs de nouveau rencontrer M. Dallara pour tenter de finaliser l'accord.
La pomme de discorde de cet accord entre l'IIF et le gouvernement grec reste le taux d'intérêt des nouvelles obligations.
Selon le quotidien Kathimerini, la proposition de l'IFF porte sur un taux d'intérêt moyen de 4,25% pour les nouvelles obligations émises (progressif entre 3% et 4,5% selon la maturité des titres), ce qui induirait une perte de 68% pour les banques, au lieu des 50% initialement prévus.
La Grèce est toujours sous la menace d'un défaut de paiement en mars qui menace toute la zone euro.
Jeudi, le porte-parole du gouvernement Pantélis Kapsis n'a pas exclu la nécessité d'adopter de nouvelles mesures d'austérité, pour redresser l'économie du pays, qui s'est enfoncée dans la récession en 2011 et peine face à la crise de la dette depuis deux ans.
La France a prévenu vendredi que "l'Europe ne paiera pas davantage" pour la Grèce que ce qui est prévu dans les accords européens de fin octobre.
L'arrivée des représentants de l'UE et du FMI coïncide avec les entretiens cruciaux en cours à Athènes entre le représentant du lobby bancaire international Charles Dallara (IIF) et le gouvernement grec sur l'effacement d'une partie de la dette privée du pays, une condition préalable pour la mise en oeuvre du deuxième plan d'aide au pays.
Après avoir échoué vendredi dernier, les discussions pour que les banques renoncent volontairement à 100 milliards de créance grecque ont repris mercredi, les participants faisant régulièrement état d'avancées et de progrès.
En début d'après-midi vendredi, M. Vénizelos et le Premier ministre Lucas Papademos doivent d'ailleurs de nouveau rencontrer M. Dallara pour tenter de finaliser l'accord.
La pomme de discorde de cet accord entre l'IIF et le gouvernement grec reste le taux d'intérêt des nouvelles obligations.
Selon le quotidien Kathimerini, la proposition de l'IFF porte sur un taux d'intérêt moyen de 4,25% pour les nouvelles obligations émises (progressif entre 3% et 4,5% selon la maturité des titres), ce qui induirait une perte de 68% pour les banques, au lieu des 50% initialement prévus.
La Grèce est toujours sous la menace d'un défaut de paiement en mars qui menace toute la zone euro.
