Les conditions de l'échange de dette négocié entre la Grèce et ses créanciers privés prévoient une perte d'environ 70% de la valeur d'émission des titres a déclaré mercredi le directeur général de BNP Paribas, Jean-Laurent Bonnafé. Avec 100 milliards d'euros de dettes perdues, le quasi-défaut grec va bien au-delà du défaut argentin en 2002.
"C'est un effort considérable du secteur. [...] Vous comprenez qu'on a touché les limites du volontariat", a commenté le dirigeant en marge de la présentation des résultats 2011 du groupe
L'effacement de dette sera "de l'ordre de 100 milliards (d'euros)" sur les 200 milliards de dette aux mains des créanciers privés, ce qui constitue "l'effort le plus important jamais réalisé pour un pays", "bien au-delà de ce qu'avait connu le dossier argentin".
Au moment de l'annonce de son défaut, en janvier 2002, l'Argentine avait une dette extérieure de 82 milliards de dollars (environ 73 milliards d'euros), un montant dont elle aura finalement remboursé une partie.
avec source AFP
"C'est un effort considérable du secteur. [...] Vous comprenez qu'on a touché les limites du volontariat", a commenté le dirigeant en marge de la présentation des résultats 2011 du groupe
L'effacement de dette sera "de l'ordre de 100 milliards (d'euros)" sur les 200 milliards de dette aux mains des créanciers privés, ce qui constitue "l'effort le plus important jamais réalisé pour un pays", "bien au-delà de ce qu'avait connu le dossier argentin".
Au moment de l'annonce de son défaut, en janvier 2002, l'Argentine avait une dette extérieure de 82 milliards de dollars (environ 73 milliards d'euros), un montant dont elle aura finalement remboursé une partie.
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