Questionné si les pays du sud, avant tout l'Italie, avaient raison de demander à l'Allemagne davantage d'aide, le commissaire finlandais répond : "Leur appel ne s'adresse pas seulement au gouvernement allemand mais à tous ceux qui se portent mieux actuellement. Ces derniers ne doivent pas oublier combien ils ont profité de l'euro, grâce à des marchés d'exportation stables et une monnaie stable".
Et d'ajouter : "Parce qu'aucune monnaie à l'intérieur de la zone euro ne peut être dévaluée, les pays exportateurs comme l'Allemagne vendent bien plus grâce à l'euro qu'avant l'euro".
Il précise cependant en même temps que les pays qui appellent les mieux lotis à aider les autres "doivent assumer leurs propres responsabilités".
Mardi, dans un entretien paru au Financial Times, le président du Conseil italien, Mario Monti, avait demandé à l'Allemagne d'aider l'Italie et les autres pays de la zone euro surendettés à abaisser leurs coûts d'emprunt.
Et d'ajouter : "Parce qu'aucune monnaie à l'intérieur de la zone euro ne peut être dévaluée, les pays exportateurs comme l'Allemagne vendent bien plus grâce à l'euro qu'avant l'euro".
Il précise cependant en même temps que les pays qui appellent les mieux lotis à aider les autres "doivent assumer leurs propres responsabilités".
Mardi, dans un entretien paru au Financial Times, le président du Conseil italien, Mario Monti, avait demandé à l'Allemagne d'aider l'Italie et les autres pays de la zone euro surendettés à abaisser leurs coûts d'emprunt.
