"La façon dont je vois les choses est que les négociations sont en cours et que clairement, jusqu'ici, il n'a pas été souhaitable que les Grecs acceptent l'offre des créanciers", a affirmé Mme Lagarde sur la chaîne Bloomberg TV, qui l'interrogeait depuis Davos (Suisse).
Mais "je suis satisfaite de voir qu'ils sont de retour autour de la table, en train de négocier, et de travailler dur", a-t-elle ajouté.
Interrogée sur ce qu'elle souhaitait voir sortir de ces négociations, Mme Lagarde a indiqué que le FMI était "fixé" sur l'idée que la Grèce parvienne à une dette de 120% du produit intérieur brut en 2020 tout au plus. Un objectif partagé par le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble, qui s'est exprimé en ce sens vendredi à Davos.
"Il faut que (la décote) soit considérable, manifestement. Parce qu'on ne fait pas cela de manière répétée", a encore dit Mme Lagarde.
Le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn a affirmé vendredi à Davos que les négociations aboutiraient "sans doute ce week-end".
Mais "je suis satisfaite de voir qu'ils sont de retour autour de la table, en train de négocier, et de travailler dur", a-t-elle ajouté.
Interrogée sur ce qu'elle souhaitait voir sortir de ces négociations, Mme Lagarde a indiqué que le FMI était "fixé" sur l'idée que la Grèce parvienne à une dette de 120% du produit intérieur brut en 2020 tout au plus. Un objectif partagé par le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble, qui s'est exprimé en ce sens vendredi à Davos.
"Il faut que (la décote) soit considérable, manifestement. Parce qu'on ne fait pas cela de manière répétée", a encore dit Mme Lagarde.
Le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn a affirmé vendredi à Davos que les négociations aboutiraient "sans doute ce week-end".
