Le 29 mars 2019, la Collectivité de Corse a signé avec quatre grandes enseignes de distribution présente dans l’île et les représentants associatifs une charte garantissant, pour une durée de deux ans, un alignement des prix de 250 produits de consommation courante sur ceux du continent. Cette mesure constitue l’un des principaux aboutissements de la Conférence sociale initiée par le Conseil exécutif, l’Assemblée de Corse et le CESEC, dans le cadre d’une démarche visant à soutenir le pouvoir d’achat des ménages, en particulier les plus modestes.
La société Gecodia a accompagné la Collectivité de Corse pour évaluer les pratiques commerciales et tarifaire de la grande distribution dans l’île. Les travaux de Gecodia ont permis d’identifier les principales causes des écarts de prix avec le continent et de formuler des recommandations pour en limiter l’impact sur le pouvoir d’achat des résidents.
Notamment, Gecodia a défini une méthode pour créer un panier de produits de première nécessité ainsi que les outils nécessaires pour suivre sa mise en œuvre.
Le dispositif concerne des denrées alimentaires, des produits d’hygiène, d’entretien et alimentation animale. La démarche résulte de deux mois de négociations réunissant élus, syndicats, collectifs citoyens et représentants de la distribution. Elle s’inscrit dans un contexte où environ 20 % de la population vit sous le seuil de pauvreté et où les prix de l’alimentation sont sensiblement plus élevés qu’en France continentale.
Cet accord est un premier pas vers une régulation concertée des prix, illustrant la capacité des acteurs locaux à s’entendre pour répondre à un enjeu social majeur.
La société Gecodia a accompagné la Collectivité de Corse pour évaluer les pratiques commerciales et tarifaire de la grande distribution dans l’île. Les travaux de Gecodia ont permis d’identifier les principales causes des écarts de prix avec le continent et de formuler des recommandations pour en limiter l’impact sur le pouvoir d’achat des résidents.
Notamment, Gecodia a défini une méthode pour créer un panier de produits de première nécessité ainsi que les outils nécessaires pour suivre sa mise en œuvre.
Le dispositif concerne des denrées alimentaires, des produits d’hygiène, d’entretien et alimentation animale. La démarche résulte de deux mois de négociations réunissant élus, syndicats, collectifs citoyens et représentants de la distribution. Elle s’inscrit dans un contexte où environ 20 % de la population vit sous le seuil de pauvreté et où les prix de l’alimentation sont sensiblement plus élevés qu’en France continentale.
Cet accord est un premier pas vers une régulation concertée des prix, illustrant la capacité des acteurs locaux à s’entendre pour répondre à un enjeu social majeur.