La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde s'est entretenue mercredi pendant trois quarts d'heure avec Nicolas Sarkozy de "la situation économique internationale", particulièrement la zone euro et à la Grèce.
L'ex-ministre de l'Economie n'a fait aucune déclaration à l'issue de son rendez-vous avec le chef de l'Etat.
Mme Lagarde, qui s'est également entretenue mercredi matin avec son successeur à Bercy François Baroin, devait ensuite déjeuner avec le Premier ministre François Fillon. Elle est arrivée à Matignon vers 13h00.
La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) a rencontré mardi à Berlin la chancelière allemande Angela Merkel, son ministre des Finances Wolfgang Schaüble et celui de l'Economie Philipp Rösler, à l'heure où un accord se profile sur l'effacement volontaire d'une partie de la dette grecque par les banques privées.
Le FMI, la Commission européenne et la Banque centrale européenne (BCE), qui forment la "troïka" des prêteurs actuels de la Grèce, doivent donner leur feu vert à une nouvelle tranche d'aide financière à Athènes pour lui éviter un défaut de paiement.
M. Sarkozy et Mme Merkel n'ont pas caché lundi, lors d'une rencontre bilatérale à Berlin, que la situation de la zone euro était toujours "tendue, extrêmement tendue même", malgré l'accord, en décembre, des pays de l'Union européenne à l'exception du Royaume-Uni, sur un renforcement de leur discipline budgétaire et de leur gouvernance économique.
Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE doivent se retrouver le 30 janvier à Bruxelles pour un nouveau sommet.
L'ex-ministre de l'Economie n'a fait aucune déclaration à l'issue de son rendez-vous avec le chef de l'Etat.
Mme Lagarde, qui s'est également entretenue mercredi matin avec son successeur à Bercy François Baroin, devait ensuite déjeuner avec le Premier ministre François Fillon. Elle est arrivée à Matignon vers 13h00.
La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) a rencontré mardi à Berlin la chancelière allemande Angela Merkel, son ministre des Finances Wolfgang Schaüble et celui de l'Economie Philipp Rösler, à l'heure où un accord se profile sur l'effacement volontaire d'une partie de la dette grecque par les banques privées.
Le FMI, la Commission européenne et la Banque centrale européenne (BCE), qui forment la "troïka" des prêteurs actuels de la Grèce, doivent donner leur feu vert à une nouvelle tranche d'aide financière à Athènes pour lui éviter un défaut de paiement.
M. Sarkozy et Mme Merkel n'ont pas caché lundi, lors d'une rencontre bilatérale à Berlin, que la situation de la zone euro était toujours "tendue, extrêmement tendue même", malgré l'accord, en décembre, des pays de l'Union européenne à l'exception du Royaume-Uni, sur un renforcement de leur discipline budgétaire et de leur gouvernance économique.
Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE doivent se retrouver le 30 janvier à Bruxelles pour un nouveau sommet.