Les indices flashs pour le mois de septembre s’enfoncent encore, s’écartant un peu plus des 50 points, barre séparant une activité en expansion d’une activité en contraction pour la zone euro. Le PMI manufacturier pour l’ensemble de la zone euro recule à 47,3 points (3e mois consécutif sous la barre, 48,5 pts) et le PMI services tombe à 47,2 points (48,8 pts en septembre).
Ces deux indices PMI sont désormais au plus bas depuis la fin de la Grande récession. Ils retrouvent les niveaux de mi-2009. Le PMI composite, regroupant les deux indices, est à 47,2 points, là encore au plus bas depuis juillet 2009.
Les sous-indices les plus importants continuent de s’enfoncer. La chute des nouvelles commandes (l’activité future) s’accélère. Le sous-indice sur l’emploi tombe sur 50 pts (dans les deux secteurs), indiquant une stagnation des créations d’emplois. Seule indication positive, les prix des intrants (inputs) sont en baisse, allégeant la tension sur les marges des entreprises et le risque inflationniste.
Sur le mois d’octobre, les résultats ont été mauvais pour la France (surtout pour les services) et l’Allemagne (surtout pour l’ industrie). Dans l’industrie manufacturière, les indices PMI allemands et français sont désormais largement sous 50 pts, à respectivement 48,9 pts et 49,0 pts en octobre. Dans les services, l’indice français continue de s’effondrer, perdant 5,5 pts après avoir chuté de plus de 4 pts en septembre, à 46,0 pts. En Allemagne, il remonte à 52,1 pts.
Pourquoi est-ce important ?
Si le T3 2011 va connaître une croissance correcte, avec notamment un bon résultat en Allemagne et en France, il y a désormais peu d’espoir de voir cette croissance se poursuivre. Les indices PMI, indicateurs très fiables de l’activité, indiquent qu’une contraction du PIB de la zone euro est désormais en place pour l’ensemble de la zone euro sur le quatrième trimestre.
En Allemagne et en France, les points forts sont touchés (industrie allemande et services français). L’indice composite n’a plongé de façon aussi violente qu’en 2008.
Ces deux indices PMI sont désormais au plus bas depuis la fin de la Grande récession. Ils retrouvent les niveaux de mi-2009. Le PMI composite, regroupant les deux indices, est à 47,2 points, là encore au plus bas depuis juillet 2009.
Les sous-indices les plus importants continuent de s’enfoncer. La chute des nouvelles commandes (l’activité future) s’accélère. Le sous-indice sur l’emploi tombe sur 50 pts (dans les deux secteurs), indiquant une stagnation des créations d’emplois. Seule indication positive, les prix des intrants (inputs) sont en baisse, allégeant la tension sur les marges des entreprises et le risque inflationniste.
Sur le mois d’octobre, les résultats ont été mauvais pour la France (surtout pour les services) et l’Allemagne (surtout pour l’ industrie). Dans l’industrie manufacturière, les indices PMI allemands et français sont désormais largement sous 50 pts, à respectivement 48,9 pts et 49,0 pts en octobre. Dans les services, l’indice français continue de s’effondrer, perdant 5,5 pts après avoir chuté de plus de 4 pts en septembre, à 46,0 pts. En Allemagne, il remonte à 52,1 pts.
Pourquoi est-ce important ?
Si le T3 2011 va connaître une croissance correcte, avec notamment un bon résultat en Allemagne et en France, il y a désormais peu d’espoir de voir cette croissance se poursuivre. Les indices PMI, indicateurs très fiables de l’activité, indiquent qu’une contraction du PIB de la zone euro est désormais en place pour l’ensemble de la zone euro sur le quatrième trimestre.
En Allemagne et en France, les points forts sont touchés (industrie allemande et services français). L’indice composite n’a plongé de façon aussi violente qu’en 2008.
