1 - Croissance de la population. Une population chinoise encore jeune et en croissance est clef pour maintenir la croissance potentielle à son niveau actuel dans les prochaines années. En Chine, la politique de l'enfant déjà freiné la croissance de la population et le ratio de dépendance va augmenter (plein impact attendu à partir de 2020). Cependant, les migrations internes entre les zones rurales et urbaines assureront une transition harmonieuse. En outre, le faible taux d’emploi des femmes et des seniors va participer à gommer l’impact du vieillissement.
2 – Un réservoir de main d’œuvre. Principalement pour les mêmes raisons que dans le paragraphe précédent, le secteur industriel chinois aura toujours accès à moyen terme à une main d’œuvre bon marché et de mieux en mieux formée, limitant la perte de compétitivité par rapport à d'autres émergents.
3 – Haut niveau de l'épargne des ménages. L'épargne de précaution est élevée en Chine, principalement en raison des coûts liés aux dépenses de santé et de l'absence de filet de sécurité (retraite, prestations chômage). Les réformes nécessaires dans ces domaines ne devraient pas être trop coûteuses. En effet, elles se traduiront par une augmentation de recettes de TVA compensant l'impact sur les finances publiques.
4 –Finances publiques saines. La Chine est exempte de préoccupations à moyen terme sur ses finances publiques. Croissance forte, inflation modérée et possibilité d’augmenter le taux d'imposition donne des marges de manœuvre pour dépenser plus (infrastructures, réforme sociale) sans nuire à la soutenabilité.
5 – Capacité à attirer les capitaux. Croissance potentielle forte, compétitivité, amélioration de la formation et besoin de diversification sont des facteurs clefs qui continueront à attirer des capitaux étrangers.
6 – Aptitude à bénéficier de nouvelles dynamiques de commerce international. La Chine est bien placée en termes de compétitivité-prix, de gamme de produit, géographiquement pour bénéficier pleinement de la croissance des échanges sud-sud de biens induites par la progression de la demande des pays émergents.
2 – Un réservoir de main d’œuvre. Principalement pour les mêmes raisons que dans le paragraphe précédent, le secteur industriel chinois aura toujours accès à moyen terme à une main d’œuvre bon marché et de mieux en mieux formée, limitant la perte de compétitivité par rapport à d'autres émergents.
3 – Haut niveau de l'épargne des ménages. L'épargne de précaution est élevée en Chine, principalement en raison des coûts liés aux dépenses de santé et de l'absence de filet de sécurité (retraite, prestations chômage). Les réformes nécessaires dans ces domaines ne devraient pas être trop coûteuses. En effet, elles se traduiront par une augmentation de recettes de TVA compensant l'impact sur les finances publiques.
4 –Finances publiques saines. La Chine est exempte de préoccupations à moyen terme sur ses finances publiques. Croissance forte, inflation modérée et possibilité d’augmenter le taux d'imposition donne des marges de manœuvre pour dépenser plus (infrastructures, réforme sociale) sans nuire à la soutenabilité.
5 – Capacité à attirer les capitaux. Croissance potentielle forte, compétitivité, amélioration de la formation et besoin de diversification sont des facteurs clefs qui continueront à attirer des capitaux étrangers.
6 – Aptitude à bénéficier de nouvelles dynamiques de commerce international. La Chine est bien placée en termes de compétitivité-prix, de gamme de produit, géographiquement pour bénéficier pleinement de la croissance des échanges sud-sud de biens induites par la progression de la demande des pays émergents.
