L’indicateur avancé de l’ECRI est bien installé en territoire positif, la variation sur 25 semaines restant stable autour de +6,5 % après avoir flirté avec -8 % en octobre. On peut donc désormais considérer le signal de fin 2010, soit une contraction pour le PIB US, comme un faux signal. C’est rare mais pas inédit (1988, 1998).
Les indicateurs économiques avancés pour les principales économies mondiales vont aussi dans le sens d’une activité économique plus favorable à court terme.
Les indicateurs économiques avancés pour les principales économies mondiales vont aussi dans le sens d’une activité économique plus favorable à court terme.
Dans nos perspectives économiques 2010-2011 nous avons tablé sur une croissance sous le potentiel aux USA durant fin 2010 et début 2011. Cette vision s’avère trop pessimiste.
Nous allons revoir nos perspectives début février. L’idée générale est une révision à la hausse au sein des grandes zones économiques. Notamment les USA et la zone euro pourraient retrouver une croissance supérieure à leur potentiel à partir du printemps.
L’indicateur économique avancé ECRI présente l’avantage d’être publié chaque semaine. Il repose sur des variables financières ( taux US, marchés action…) mais aussi sur des statistiques. Il n’est pas parfait mais il a correctement anticipé toutes les dernières récessions de l’économie américaine depuis 1980.
Nous allons revoir nos perspectives début février. L’idée générale est une révision à la hausse au sein des grandes zones économiques. Notamment les USA et la zone euro pourraient retrouver une croissance supérieure à leur potentiel à partir du printemps.
L’indicateur économique avancé ECRI présente l’avantage d’être publié chaque semaine. Il repose sur des variables financières ( taux US, marchés action…) mais aussi sur des statistiques. Il n’est pas parfait mais il a correctement anticipé toutes les dernières récessions de l’économie américaine depuis 1980.
